Jeux libertins par grands chaleurs - Histoires de Sexe

Jeux libertins par grands chaleurs

... impassible, ma femme accepte les attouchements doux et sensuels. Sans précipitation, l’homme susurre dans l’oreille de Béatrice des compliments sur sa beauté, son élégance, son parfum. Il l’embrasse dans le cou et caresse la poitrine sur l’étoffe de la robe. Ce faisant, il provoque une excitation sexuelle auprès de sa partenaire. Ma femme plonge sa main dans la braguette ; saisit le membre et le masturbe en le serrant fort. Les deux comparses s’embrassent à pleine bouche et partagent des mots crus. L’homme lui dit : « Tu es bonne. Prends-la en bouche ». Béatrice répond : « Bouffe-moi la chatte ». Dans la position 69 sur la banquette, les deux amants d’un soir jouent avec leurs parties intimes respectives. Lui aspire le clitoris avec ses lèvres en fourrant avec deux doigts le vagin. Elle pompe l’épais dard en roulant la langue sur le gland. Je conduis à petite allure la voiture sur un chemin de terre en les regardant dans le rétroviseur. L’homme caresse le point G tout en soufflant sur le clitoris puis se cambre en éjaculant dans la bouche de sa partenaire. Béatrice demande à son amant d’aller plus vite et ne tarde pas à connaître un plaisir intense. Se congratulant, ils remettent de l’ordre dans leurs vêtements. Nous reconduisons notre ami au point de rencontre et regagnons nos pénates. Un soir de mai, en guise de quatrième événement, nous sortons dans un club libertin réputé pour son ambiance feutrée et sa discrétion. À la recherche de sensations nouvelles, nous nous ...

... dirigeons en voiture vers le lieu de luxure avec l’objectif de vivre des instants de trouble et de volupté. Si la soirée est réservée aux couples, des hommes seuls sont admis sur sélection. Habillés élégamment, nous entrons dans le club et nous nous dirigeons au bar et prenons un cocktail. Des couples se déhanchent avec sensualité sur la piste de danse. Béatrice m’entraîne sur le parquet ; me saisit par la nuque et entame un slow en se rapprochant de moi. Sous son chemisier blanc légèrement transparent apparaissent ses jolis seins fermes. Chaussée d’escarpins à talon haut, ma femme a une silhouette élancée. À proximité, un couple de notre âge, se frotte langoureusement, nous lance des œillades et nous invite à partager un verre. Assis tous les quatre dans un canapé dans un salon attenant au bar, nous faisons connaissance. Paul et Mathilde, vêtus respectivement d’un pantalon noir et d’une chemise blanche pour l’un, d’une robe moulante avec un profond décolleté et d’un dos nu pour l’autre, ont belle allure. Sans nul doute expérimentés dans l’échangisme, ils ne tardent pas à nous séduire par leur attitude courtoise, joyeuse, naturelle. Après s’être concertés au sein de notre couple, nous acceptons leur proposition de monter à l’étage. Nous entrons dans une chambre climatisée où trône un grand lit circulaire. Debout, Béatrice et Mathilde se caressent alors que les maris s’assoient sur le bord du matelas. Avec fougue, les deux femmes plaquent leurs lèvres et se donnent des coups de ...