1. On n'est jamais à l'abri d'une surp


    Datte: 21/05/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... minable, n’oublie pas tes genoux… Il a démarré, et je suis resté comme un con, l’enveloppe à la main.J’ai couru jusqu’à l’appart’, ouvert la fameuse enveloppe. Un mot, tapé à l’ordinateur détaillait comment Sophie était supposée s’habiller, se préparer, au cas où il devait venir « la voir ». Elle devait s’épiler le maillot, raies des fesses, sexe, en laissant une ligne sur le dessus. Elle était supposée se faire un lavement. Pourquoi ? La vache ! Il avait préparé son coup, le gros porc… Ensuite, pédicure, manucure, maquillage et, habillement : hauts talons, ouverts, une robe courte transparente. Des bijoux. Il voulait quoi, ce porc ? En faire une pute ? C’était logique, pensais-je… J’ai eu rire nerveux. Bon sang, où j’étais supposé trouver le pognon pour tout ça ? J’ai regardé instinctivement dans l’enveloppe, quatre billets de 50 € s’y trouvaient. J’ai levé les yeux vers la pendule, 18h00, Sophie allait rentrer. J’ai attrapé une vieille bouteille d’alcool qu’on avait, et j’ai bu, pensant me donner du courage. Une chartreuse dégueulasse… Une heure après, Sophie est rentrée. – Je file sous l’eau, Cédric ! Elle réapparut en string, seins nus (qu’elle était belle…) et entra dans notre chambre en chantonnant. J’ai bu deux verres de plus, et je me lançai.J’ai poussé la porte, elle était dos à moi, à genoux, occupée à trier des notes de cours. Elle était vraiment sensuelle.– Ma chérie, je dois te parler… Elle s’est retournée, l’air un peu effrayé. – Quoi, rien de grave, j’espère ? ...
    ... Si, justement…Je lui ai tout dit : le jeu, les menaces, les choix, la peur, le proprio’ (ce gros dégueulasse), sa proposition indécente, l’enveloppe, … Tout. Elle a commencé à pleurer, j’en étais malade. J’espérais un miracle… Elle dit non, catégoriquement, c’était non. J’ai expliqué les menaces, ma peur, l’amour que j’avais pour elle, puis, elle s’est tue, elle sanglotait, assises, la tête entre les genoux. On est resté deux bonnes heures comme ça, à pleurer tous les deux. Elle m’a posé des tas de questions ; « Juste lui ? Je dois baiser avec ce porc ? Quand ? Comment tu as pu ? Je croyais que tu m’aimais ! Comment tu as pu lui dire oui ?! », etc.Elle a vu que j’avais bu, elle a réclamé un verre, puis un autre, pour enfin commencer à se calmer et, elle a lâché un timide « oui », du bout des lèvres, ses magnifiques petites lèvres. On allait en reparler, de ses lèvres…On s’est endormi dans les bras l’un de l’autre, vers 03h00 du matin. Le mardi, en me levant, j’ai vu qu’elle était partie. Mal la gueule, j’ai attendu. Vers 15h00, elle est revenue avec des sacs de boutiques. Elle est allée s’asseoir dans notre fauteuil qui tombait en miettes, jambes croisées sur le côté. Elle n’a pas dit un mot. Puis, – Appelle-le, m’a-t-elle lancé. Elle le connaissait, bien sûr, elle travaillait pour lui, même si elle m’avait dit qu’il était plutôt du genre à venir ramasser le fric et aboyer sur le personnel qu’autre chose. J’ai donc appelé.– Ah, c’est toi ! Alors ? – Elle a dit oui, dis-je. – ...
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