1. On n'est jamais à l'abri d'une surp


    Datte: 21/05/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... pendant trois mois.– Soit je te pète les genoux, soit tu payes. Au choix !La trouille au bide, je cherchais des solutions. Je lui ai proposé de travailler pour lui, refus. Je lui ai proposé de le payer plus tard, avec indemnités de retard, refus.Puis, j’ai pensé à Sophie ; elle travaillait déjà pour lui, pourquoi pas une retenue sur salaire ?– Hé, mais t’en con ou quoi ? J’la paye déjà pas grand-chose, il va me falloir des mois et des mois avant de voir mon fric, connard ! Là, il me poussait violemment, j’avais la trouille et je sentais les larmes monter… – En plus, vous allez bouffer quoi ? Non, oublie ça !Mais, puisque t’en parle, de ta meuf… - Oui ? – Hé ben, c’est simple, tu nous prêtes ta copine. Bonne comme elle est, ça devrait le faire !J’étais estomaqué. Je ne savais plus quoi dire.– Heu, je … Quoi ?– T’es bouché ? Ta copine, son cul, et on parlera règlement de dette. C’est oui, on s’arrange. C’est non, on parlera de tes genoux, ou de tes bras. Alors ? M’a-t-il lancé agressivement.– Je sais pas, je, … Je tremblais, j’avais le souffle court, je me sentais mal. Puis il a dit, - Écoute, t’as deux jours pour la convaincre. Après, … Je sais ou te trouver ? T’as pigé ? Il s’est levé, ma tapoté la joue de sa grosse main calleuse, et il est parti.Putain, je savais pas quoi faire, je ne savais plus quoi dire, elle devait rentrer le lendemain matin.J’ai pas dormi de la nuit, enchaînant entre les phases de sommeil, les réveils en sursaut, je bandais malgré moi, mais merdre, ...
    ... enfin, c’était ma copine, quoi ! Je l’aimais, comment j’allais pouvoir lui en parler ? Comment j’en étais arrivé là ?Le lendemain, elle est arrivée vers 10h00, toute fraîche, toute joyeuse. – Bonjour, mon chéri, comment ça va ? Petit bisou sur mes lèvres, petite parlotte sur ses parents, leurs difficultés d’argent, me disant que ça commençait seulement à s’arranger et qu’elle ne voulait pas les brusquer, d’autant que son père avait quelques ennuis de santé. Comment j’allais mettre ça sur la table ? Bon sang…– Tu te sens bien ? Tu as l’air malade. J’étais blême, évidemment. – Oh, je non, rien, ça va. – D’accord ! Je vais courir avec des amies aujourd’hui, OK ? – Heu, OK, ma chérie… Moi, je dois aller à la bibliothèque, on se voit c’soir ? – OK, mon cœur, je vais sûrement aller prendre un verre après, je ne rentre pas tard, j’ai pas beaucoup d’argent, j’ai dû en donner à mes parents pour leur voiture. – Ah, heu, je, oui, bredouillais-je bêtement.Elle m’embrassa langoureusement, a tourné les talons, habillée en jogging (quel beau cul, en effet…), et elle est partie. – Je t’aime ! Oh, ma chérie, si tu savais…J’y ai pensé toute la journée, évidemment, j’ai rien su faire de constructif de la journée. En arrivant à deux rues de l’appart’, une grosse berline klaxonne, c’était le propriétaire. – Hé, branleur, amène-toi. Tiens ! Il m’a tendu une enveloppe. Au cas où ma petite serveuse dirait oui, voilà mes instructions. Que voulait-il dire par là ?– Tu lui en a parlé ? Grouille, espèce de ...
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