1. Un vrai problème de conscience


    Datte: 21/05/2020, Catégories: fh, extracon, grossexe, neuneu, Collègues / Travail toilettes, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Masturbation Oral fsodo, confession,

    ... pendant une heure ou deux. Comme tout le monde quitte l’établissement à ce moment-là, je ne suis pas emmerdée et je peux en profiter pour faire des préparations. C’est un système efficace qui me soulage pour le reste de la semaine. En général, je quitte les lieux vers 13 h 30 ou 14 h et c’est moi qui ferme le portail. De ma classe, j’ai pris l’habitude d’observer Bruno dans la cour. Je le regarde balayer quelques feuilles mollement ou vider les poubelles. Et j’ai fini par remarquer un curieux manège… Dès les premières fois, j’ai constaté qu’il travaillait pendant environ une demi-heure et qu’il finissait systématiquement par poser son balai contre un mur du préau avant de se diriger à l’intérieur du bâtiment. Il se passe à peu près un quart d’heure avant que je ne voie mon gars Bruno revenir prendre son balai et se remettre au boulot, avec toujours aussi peu d’entrain. Au début, je n’y ai pas prêté plus d’attention que ça. Et puis, au bout d’un mois environ, cette affaire m’a intriguée. J’ai commencé à me demander ce qu’il pouvait bien aller fouiner comme ça… qu’est-ce qu’il pouvait aller fabriquer à l’intérieur du bâtiment ? Alors, un jour, quand j’ai vu mon Bruno poser son balai, à mon tour, je me suis décidée à aller voir ce qu’il faisait… ce jour-là, je crois que j’aurais mieux fait de m’abstenir. Je suis sortie de ma salle de classe. Le couloir était vide. Visiblement, tout le monde avait déjà quitté l’établissement. Je me suis dirigée vers la bibliothèque. Au bout du ...
    ... couloir il faut tourner à gauche. Si je tombais sur Bruno dans le couloir, je pouvais faire semblant d’aller chercher un bouquin. Arrivée au bout du couloir, rien. Personne. Au bout de ce second couloir, c’est la sortie vers le préau… c’était bizarre. Où avait-il bien pu se fourrer ? Je m’approche de la porte de la bibliothèque. Fermée à clé. Et toujours aucun bruit. Entre la bibliothèque et la sortie vers le préau, il ne restait plus qu’un endroit. Les toilettes… J’avance doucement vers la porte des toilettes, je patiente devant quelques secondes… J’avais un peu honte de le surveiller comme ça, comme une voleuse, mais il fallait que j’en aie le cœur net. Aucun bruit ne filtrait à travers la porte. Je l’ai ouverte tout doucement… Vide… J’étais vraiment gênée de venir vérifier ce qu’il pouvait bien faire, surtout en entrant dans les toilettes comme ça. Un peu inquiète et le souffle court, j’ai encore attendu quelques secondes à l’entrée des toilettes et puis tout d’un coup, j’ai entendu du bruit dans un des cabinets… Visiblement, mon Bruno, réglé comme une horloge, avait ses petites habitudes, tout simplement. C’était donc aussi bête que ça. Je me suis sentie idiote de m’être livrée à tant de curiosité mal placée. J’allai refermer la porte et le laisser faire ce qu’il avait à faire quand une curiosité encore plus mal placée m’a arrêtée… il semblait souffler bien fort là-dedans… et si… et si… j’hésitais, j’aurais dû refermer cette porte et m’en aller, mais ce bruit… Et comme une ...
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