Un vrai problème de conscience
Datte: 21/05/2020,
Catégories:
fh,
extracon,
grossexe,
neuneu,
Collègues / Travail
toilettes,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Masturbation
Oral
fsodo,
confession,
... pine pouvait-elle exister ? C’était cette idée, cette vision qui m’obsédait maintenant. J’étais incapable de sortir des toilettes. J’avais aussi un peu peur de tomber sur Bruno dans le couloir. Toujours assise sur ma cuvette, je dois confesser que, presque machinalement, j’ai déboutonné mon pantalon, j’ai fait glisser une main vers ma culotte… elle était complètement détrempée, j’avais mouillé comme une folle en quelques secondes à peine. J’ai commencé à me frotter un peu à travers le tissu… j’étais super excitée… la vision de cette queue de cheval… ce salopard qui envoie une tonne de foutre comme une vraie bête… et voilà que, moi aussi, j’étais en train de me branler dans les chiottes de l’école comme la première adolescente venue… cette énorme queue de cheval… je me tripatouillais de plus en plus grassement dans la culotte. Honnêtement, je crois qu’à ce moment-là, je me serais fait baiser par un singe… et j’ai fini par jouir toute seule sans bruit, comme une débile, crispée sur ma cuvette, les yeux exorbités et la bouche grande ouverte. Voilà, j’avais vu ce que je voulais voir, et même plus. Et je me retrouvais comme une conne en train d’essuyer mes mains poissées à du papier toilette, envahie par un sentiment de honte très puissant. Je suis retournée dans ma classe, mais il n’était plus question de travailler. Bruno avait repris ses activités dans la cour. Il fallait que je le chasse avant de quitter l’école et de rentrer chez moi. J’ai bouclé mon sac vite fait et j’ai ...
... tapé au carreau. Il a levé sa tête de veau. Je lui ai montré ma montre pour lui indiquer que c’en était fini pour aujourd’hui. Il m’a regardé bêtement et moi je pensais :« mon salopard, quelle queue tu as ! » Il est parti ranger son matériel. Discipliné. Nous sommes sortis ensemble de l’établissement, je lui ai dit au revoir sans oser le regarder dans les yeux, il m’a dit « Au revoir, Madame ». Poli, le garçon… J’ai fermé le portail et je suis rentrée chez moi totalement bouleversée. Je n’ai pas eu ma tête à moi cet après-midi-là. Vous imaginez pourquoi. J’avais en permanence la vision de cette bite effroyable qui me claquait le cerveau. Je ne pensais plus qu’à ça… Le soir, une fois les enfants couchés, alors que mon mari essuyait la vaisselle, je me suis agenouillée devant lui, j’ai sorti sa bite de son slip et je l’ai sucée avec une avidité nouvelle. Il s’est laissé faire avec l’air presque aussi surpris que moi, plus tôt dans la journée. Je me suis relevée, j’ai fait glisser mon pantalon sur mes cuisses, je me suis retournée contre l’évier, j’ai écarté ma culotte… et je me suis fait prendre le cul royalement. Une vraie sauvage ! Il n’en revenait pas mon petit mari… il s’est agrippé fermement à mes hanches et, pendant qu’il se vidait les couilles dans mon croupion, j’avais en tête l’odieuse image du chibre de mon Bruno qui crachait ses tonnes de foutre dans la cuvette des chiottes… la honte, je vous dis… Cet épisode incroyable m’avait mis le cerveau complètement à l’envers. ...