1. Un vrai problème de conscience


    Datte: 21/05/2020, Catégories: fh, extracon, grossexe, neuneu, Collègues / Travail toilettes, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Masturbation Oral fsodo, confession,

    ... Évidemment, les jours suivants, notamment au boulot, j’ai commencé à vraiment appréhender le mercredi d’après. Et je dois dire que toute la semaine, avec mon mari, on a baisé avec beaucoup plus d’intensité que d’habitude. Je n’avais plus qu’une obsession en tête : cette queue phénoménale que j’avais eu le bonheur, et le malheur, de voir en pleine action. Mieux qu’un film… Mais fatalement, le mercredi suivant est arrivé. J’hésitais à rester dans ma classe après les cours. J’avais très envie de fuir les lieux le plus vite possible pour fuir du même coup cette situation embarrassante car je savais pertinemment que j’aurais beaucoup de mal à résister à l’envie de retourner voir mon Bruno cracher dans son bassinet à son heure régulière… mais comment justifier ce soudain changement d’habitude auprès de mes collègues ? Il était convenu depuis longtemps que c’était moi qui restais le mercredi pour que le nettoyage soit fait et pour fermer l’école ensuite… j’étais bien emmerdée. Et en même temps assez excitée, il faut être honnête. J’ai vu mon Bruno arriver dans la cour. Et le manège classique a commencé. Une petite demi-heure molle de balayage… moi, j’étais incapable de bosser, je passais mon temps à le surveiller du coin de l’œil, et je sentais monter l’inquiétude en même temps qu’une immense excitation. À dire vrai, j’ai même senti que je commençais à mouiller ma culotte dès qu’il est arrivé. Je me trémoussais doucement sur ma chaise, j’avais très, très, envie de me couler une ...
    ... main là-dedans… Et puis il pose son balai… il se dirige vers le bâtiment… putain, quel porc, mais quel porc ! Je savais ce qu’il était parti faire. Je savais exactement ce qui allait sortir de sa combinaison et je savais que j’avais énormément envie de revoir ça. L’horreur… le gros, gros, dilemme. Alors, en me maudissant moi-même, je suis sortie de ma salle de classe. Personne dans le couloir. J’ai avancé doucement. Je savais où j’allais. Arrivée devant la porte des toilettes, j’ai encore attendu un peu, comme pour me donner une dernière chance de changer d’avis, et puis… j’ai ouvert en silence. Le souffle coupé. Et j’ai entendu le même rituel dans le cabinet. La respiration forte, le bruit de frottement et de clapotis régulier… Et comme la semaine précédente, je me suis faufilée dans le cabinet d’à-côté. Sans me faire repérer. Et je suis grimpée, et j’ai vu exactement la même chose… mon bon gros Bruno en train de se frictionner sa monstrueuse pine au-dessus de la cuvette des chiottes. Mais cette fois-ci, à la différence de la semaine précédente, je n’ai pas été capable d’attendre qu’il ait terminé son affaire pour me glisser une main dans la culotte… faut dire que ça faisait plus d’une demi-heure que je chauffais du slip comme une dingue et je n’en pouvais plus. J’ai commencé à me branler immédiatement… c’était une situation atroce. J’étais vraiment hallucinée par ce spectacle irréel, j’éprouvais l’envie presque irrésistible de poser les mains sur cette chose, mais c’était tout ...
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