1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l'épouse hypersexuelle (36) : nos retrouvailles


    Datte: 22/05/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    La situation ne pouvait plus durer. Hassan avait constaté que, si je ne refusais pas d'avoir des rapports avec lui, je marquais des distances qui, pour lui étaient insupportables, en refusant tout préliminaires, tout baiser, toute caresse, me contentant de lui laisser faire son affaire et d'attendre que ce soit fini, qu'il ait accompli son devoir conjugal. Il avait parfaitement compris que je n'avais plus pour lui aucun sentiment. Dans une première phase, il s'y était résigné, en espérant que le temps fasse son oeuvre. Pour détourner son attention, j'avais demandé l'aide de mon amie Christine, qui avait consenti à devenir la maîtresse d'Hassan dans l'objectif qu'il m'oublie un peu, mais aussi de me laisser plus de liberté pour retrouver Philippe. Le tournant fut quand Hassan trouva, dans l'armoire à pharmacie, les contraceptifs que je prenais en cachette. Il entra en fureur, à un point tel que j'ose à peine le raconter ici. Il hurlait : - Olga, salope ! Viens ici tout de suite ! - Que me veux-tu ? Encore tirer ton coup ? Allez, vas-y et fais vite ! Provocatrice, je me suis approchée, je l'ai regardé droit dans les yeux. J'ai fait tomber ma robe, j'étais nue, le défiant. Une violente gifle est partie. Je me suis retrouvée au sol, ma joue devait porter les traces de ses doigts. Il m'a prise par le bras brutalement, pour me relever. J'ai pensé qu'il allait me battre. - Tu veux me cogner, sale brute ! Vas-y, tu es le plus fort mais saches que tu en assumeras toutes les ...
    ... conséquences ! Tu ne me fais pas peur, sale lâche ! - Ce n'est pas l'envie qui me manque de te rouer de coups, catin, mais je ne tomberai pas dans ton piège pour que tu ailles à la police ensuite. Je veux seulement te montrer quelque chose. Il m'a prise par le poignet pour m'entrainer de force. Il me faisait très mal. Un moment je suis tombée, il ne s'est pas arrêté pour autant, il a pris mes deux bras et me traînait sur le sol. Il allait tellement vite que j?ai heurté assez violemment et à plusieurs reprises des obstacles : - Aïe, doucement tu me fais mal ! Laisses-moi me relever, je te suivrai ! - Tu es très bien au sol, c?est la place d'une roulure comme toi. Arrivés à la salle de bains, il me remit enfin sur pied. Il me montra une boite de pilules : - C'est quoi, ça ? Salope, je sais maintenant que tu me trompes ! Avec qui ? - Il ne s?agit pas de ça. Je ne veux pas, comme tu en as l'intention, que tu me mettes en permanence enceinte. J'ai le droit de décider de ma fécondité. Hassan vida la boite dans la cuvette des WC. - Nous en avons parlé avant notre mariage et tu étais d'accord ! Ne t'avise pas de recommencer à prendre ça derrière mon dos. Tu as encore plus de dix ans avant ta ménopause et je compte bien te faire le plus d'enfants possibles. Tu entends femme ? Et prends garde qu'un autre homme ne t'approche pas. Tu sais que je ne suis pas candauliste et que je ne supporterais pas d'être cocu ! - Il me semble que, de ton côté, tu ne te gênes pas et je ne te le reproche pas, tu es ...
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