1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l'épouse hypersexuelle (36) : nos retrouvailles


    Datte: 22/05/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... et ma petite culotte. Philippe avait les mains sur mes cuisses. Ma vulve trempée se rapprochait de la tête de mon homme. J'avais envie de prendre la direction des opérations. Philippe était à moi, cette position le symbolisait. - On dirait que je te fais de l'effet, Monsieur T. - Tu es tout simplement merveilleuse. En particulier la vision de ta poitrine. J'ai toujours aimé tes petits seins. La maternité a transformé ta poitrine. Tes seins sont plus gros, fermes, ils sont magnifiques. Il se mit assis sur le lit, passa une main derrière mon dos et dégrafa le sous-vêtement en un tour de main habile de connaisseur, pendant que je l?embrassais fougueusement et que je frottais ma vulve contre sa formidable érection. Je n?avais plus que ma culotte blanche et j?étais impatiente qu?il me l?enlève, qu?il se débarrasse de son jeans, pour que nous puissions enfin nous aimer. J?étais à genoux sur le lit, uniquement vêtue de cette culotte trempée de désir, Philippe torse nu, portant toujours ce jeans serré où son érection était formidable. J'avais follement envie de lui. J'ai desserré sa ceinture, ouvert sa braguette et commencé à m'attaquer à l'objet de mon désir. - Philippe, mon amour, Hassan était en déplacement depuis plusieurs jours, il ne m'a plus touché. Je suis en période favorable. Tu sais ce que je veux, que tu me fasses un enfant, mon amour. Féconde-moi ! Je suis à toi et cette fois c'est pour la vie ! - Je vais te faire un enfant, le symbole de notre amour. Il me releva, me ...
    ... prit dans ses bras, me serra contre lui, pour que je sente bien son désir. Ses mains étaient sur mes fesses, mes seins tendus de désir contre sa poitrine. Nous nous embrassions fougueusement, prenant tout notre temps, malgré le désir que nous ayons l'un pour l'autre, oubliant qu'Hassan ne saurait tarder à revenir de son déplacement. Il n?y avait plus que Philippe et moi, rien d?autre n?existait désormais, nous étions seuls au monde. Nous nous regardions, éperdus de désir et d?amour. - Oh Philippe, je t'aime comme je n'ai jamais aimé. Je suis à toi, rien qu'à toi. Tu peux disposer de moi. - Ton amour ne devra être qu'à moi désormais. Quant à ton corps, j'en disposerai, tu seras ma reine du plaisir. Je veux continuer à te voir jouir. Sous mon contrôle. - Oui, mon chéri. Prends-moi maintenant ! Il voulait prendre tout son temps. Il me fit mettre debout et je me retrouvais, au bord du lit, dans ses bras, mes seins contre sa poitrine, ma chatte, encore protégée par ma culotte désormais trempée d'excitation contre l'érection de Philippe. Ses mains étaient sur mes fesses, il me serrait contre lui. Il savourait l'instant, me couvrant de baisers et me disant tout son amour. - Tu es une merveille, Basilissa moy. Je n'en reviens pas que ces trésors sont à moi à nouveau alors que j'avais failli les perdre. - Je suis définitivement à toi, Kardia moy. Tu peux faire de moi tout ce que tu veux. - Et je ne m'en priverais pas. Ce corps est fait pour le plaisir, je ne serai pas égoiste. Je veux ...
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