Vulnérable ! - Histoires de Sexe

Vulnérable !

... presque ! Il m’a confié un jour qu’il ne pouvait pas voir des seins nus sans avoir envie d’y porter les lèvres. Il parlait alors des miens mais ceux des autres filles ont l’air de lui faire le même effet. Frédéric, lui, nous tourne le dos en enlevant son mini slip. Fesses puissantes. Puis il se retourne, très calme, et se pose sur sa chaise. Il ne bande toujours pas. Habitué à ce jeu, Frédéric ? Les cuisses sont fortes, elles aussi. Vélo, natation ? — Je suis comme Thomas, intervient alors David, je ne crois que ce que je touche. Tu permets, Delphine ? Il lui caresse les seins, très tendrement, sans attendre de réponse. Puis : — Natacha, ma chérie, dis-nous si Frédéric bande enfin, après m’avoir vu câliner les seins de sa douce compagne. Elle tourne la tête, regarde le bas-ventre de son voisin mais ne bouge pas la main. — Un peu, peut-être.— Touche, pour être sûre, insiste David. Elle déplace enfin sa main. — Oui, un peu… De plus en plus, même.— Tu vois, ta main fait des merveilles, mon amour. Thomas joue un trois sans-atouts impossible à réussir. Un de chute. Il faut qu’il ôte son ridicule slip d’évêque. Il le fait sans autre forme de procès, il bande, un peu plus qu’à moitié. Sandrine enlève sa jupe. Elle n’avait pas de petite culotte ! — Bah oui, j’aime bien m’aérer le minou, moi. Elle est intégralement épilée. Il paraît que c’est la mode, maintenant. Olivier semble apprécier quand elle reprend sa place à côté de lui. — On touche, Sophie ? me demande-t-il en déplaçant sa ...

... main droite vers le minou aéré de sa voisine, qui se trémousse et écarte les cuisses. Puis il porte son index à sa bouche, pour goûter. Moi, je tends la main et je tâte le membre dur de Thomas. Je le sens frémir entre mes doigts. Je serre un peu, puis descends sur les couilles, que je flatte gentiment. Là-bas, David joue un deux trèfles et ne chute pas. Ici, Sandrine, encore elle, s’est lancée dans un trois sans-atouts et fait des impasses extravagantes, n’ayant rien compris à nos annonces. Elle chute de deux plis. — Bon, de toute façon, Thomas et moi on est déjà à poil, alors quelle importance ?— Tu as tort, Sandrine, intervient Frédéric qui pose ses cartes sur la table. Quand on n’a plus de vêtements et qu’on chute, celui ou celle qui a perdu doit accomplir un gage, décidé par l’adversaire du sexe opposé. Olivier, que veux-tu que te fasse Delphine… non, Sandrine ?— Qu’elle vienne s’asseoir sur mes genoux et qu’elle me laisse sucer ses seins.— Mais voilà un gage pas désagréable du tout ! s’exclame Sandrine. Il s’y attarde, Olivier. Il doit bander ferme sous son boxer noir. Sandrine regagne sa place, les pointes de ses seins ont grossi et luisent de la salive de mon copain. Et je pense au lapsus de Frédéric, qui a d’abord dit Delphine au lieu de Sandrine. Delphine, sa compagne… Tiens : lape-suce, Lacan aurait apprécié ! David vient de chuter d’un pli. Cela s’est fait très vite. Il faut qu’il enlève son caleçon. Il bande sauvagement, tente de le dissimuler des deux mains et se ...