1. Ma femme, multi-orgasmique ? Oui et non...


    Datte: 23/05/2020, Catégories: fh, couple, amour, confession,

    J’en ai aujourd’hui la certitude, le corps des femmes est une véritable machine à plaisir. Toutefois cette donnée de fait ne se manifeste que très exceptionnellement dans la vie de tous les jours et je vois quatre explications à cela : Moi je joue de ma femme comme on joue du piano. Et mon vrai plaisir c’est son plaisir. Selon son humeur et le goût qu’elle a pour telle ou telle activité à tel ou tel moment, j’y vais des doigts, des lèvres, de la langue, des dents, de la queue. Si je dois être sincère, mes doigts lui plaisent mais pas plus que ça, surtout à l’intromission, peut-être parce qu’elle craint toujours d’être griffée ; c’est l’évidence, sa préférence va à ma bouche qui la caresse, suce, mordille, lèche, mollement ou fermement. Ma langue s’étale et, tandis que je la remonte, se fait doucement râpeuse ; ou alors je la durcis et l’applique en des points précis avant de la rendre de nouveau large et tendre. Je la durcis à nouveau pour la passer de tout son long sur l’endroit stratégique, légèrement d’abord, puis de plus en plus fermement, j’aspire tout doucement les petites choses délicates, j’allonge alors ma langue pour l’introduire à l’entrée de son vagin, puis je la baise comme ça, à tout petits coups, en regrettant de ne pas l’avoir plus longue, avant de retourner à mes léchouilles… C’est imparable, elle n’y coupe pas. Il ne se passe pas longtemps avant qu’elle s’émeuve ; sa respiration s’accélère, son bassin ondule d’avant en arrière avant qu’elle se mette toute ...
    ... entière à vibrer. J’adore quand ses hanches roulent ainsi : un mouvement incontrôlé, irrépressible, elle n’a jamais su à quel point elle est alors impudique. Ce qu’elle exprime là, à son insu, car elle est déjà partie dans un ailleurs où son plaisir va exploser, c’est l’envie de la pénétration ; l’envie authentique, brute, primale, de recevoir un mâle. Mais près d’elle il n’y a que moi, et c’est moi qui la mets dans cet état. Elle réussit à temporiser quelque temps, puis le monde bascule ; je sens bientôt une vibration de tout son corps, qu’elle serait bien en peine de reproduire volontairement, quelques secondes encore, elle n’y tient plus, elle se crispe de tous ses petits muscles : quelques profonds soupirs, sans voix, et relâchement total. Là il faut que je m’arrête dans la position où je me trouve et que je ne bouge plus, la langue immobile contre son sexe béant et inondé. Il n’est pas rare alors qu’elle me prenne la tête ou les mains : un geste de pure connivence, histoire de bien me sentir contre elle et de me faire partager son bonheur. Quand elle a commencé à jouir comme ça, éventuellement on peut continuer. On l’a fait souvent, on le fait parfois. Une petite pause, disons une à deux minutes, et puis on peut remettre la question à l’ordre du jour. Les orgasmes suivants arrivent même plus vite, sachant que c’est elle qui choisit son moment. Car j’ai cherché à piloter son plaisir en ralentissant mes caresses ou en modifiant leur assise. Assez rapidement elle m’a prié de ...
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