Nos premières ébauches - Histoires de Sexe

Nos premières ébauches

... faire saillir tes seins. Comme ça c’est mieux, cambre-toi toujours, là, c’est bien. Ainsi, tu vois, tes seins pointent naturellement. Regarde Valérie dans les yeux. Voilà, comme ça tu as la tête bien droite. Elle a de très beaux seins, bien fermes aussi. C’est peut-être de face qu’il faut la faire poser Judith se rapproche de Laure, une main sur sa taille et de l’autre elle soupèse le sein droit, le sein gauche. — Aïe ! Judith vient de lui pincer le téton gauche puis le droit. Je suis abasourdie, Laure s’est laissée faire ! — Tu vois, ça les fait pointer, ils sont plus jolis ainsi, dit-elle en continuant de lui soupeser les seins. Quand tu poses, il faudra que tu penses à le faire de temps en temps, tu es plus séduisante ainsi. Sa main progresse sur son corps, se pose sur son cou qu’elle enserre. — Un très joli cou, très fin. Peut-être devrais-tu lui mettre un ruban, me dit-elle, en m’interrogeant du regard. Une jolie bouche. Sa main s’en est rapprochée, et elle lui ouvre du pouce, comme si elle voulait qu’elle le lui suce. — Ouvre la bouche, montre ta langue ! Jolie, mutine, espiègle. Ton mari doit être aux anges quand tu l’embrasses ! Bon, il faut que j’y aille, dit-elle. Et se rapprochant de Laure, elle l’embrasse, longtemps, sur la bouche, puis elle vient vers moi et m’embrasse à pleine bouche ostensiblement, devant Laure. — Je vous laisse, soyez sage, à bientôt, dit-elle en joignant le geste à la parole vers Laure. La porte claque, nous sommes enfin seules. Laure, nue ...

... devant moi, semble avoir perdu sa timidité. — Nous allons enfin pouvoir travailler, dis-je et je me dirige vers mon chevalet Brrr ! Mon téléphone vibre. Un SMS de Judith :« Je ne lui ai pas mis la langue. » — Bon quelle pose allons-nous choisir ? Laure, s’il te plaît, marche devant moi comme si tu défilais, que je voie mieux ton corps Brrr ! Un nouveau SMS de Judith :« Dessine-la de dos à quatre pattes, les jambes bien écartées. » Brrr !« Fais-le pour moi, je t’aime, ta petite Judith. » Je regarde Laure déambuler de long en large dans la pièce, un peu timidement d’abord puis plus libérée. Elle roule des hanches, faisant ballotter sa queue de cheval blonde. Il lui manque quelque chose, oui, une paire de chaussures à talon pour la cambrer, mettre en offrande son superbe cul et faire pointer ses seins. Pendant qu’elle déambule nue, je passe derrière le paravent examiner ses affaires. Un soutien-gorge blanc assorti à une petite culotte bien sage, j’ai envie de lui prendre pour la faire repartir nue sous sa jupe. Des collantstue-l’amour, une petite jupe noire un top blanc et ses chaussures ? Plates, sans talon ! Bon, je vais aller voir ma garde-robe. — Fais quelques exercices d’assouplissement pour te préparer à poser. Je vais chercher des chaussures, tu dois faire du 39 si je ne me trompe pas ? Elle acquiesce tout en se baissant jambes tendues pour toucher le sol avec ses mains. Elle n’est plus qu’un cul ouvert, offert, mais quel cul, j’en suis bouche bée ! Je la boirais tout de ...