1. Les vacances de Mia - 1


    Datte: 23/05/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... régulièrement à des soirées qu’ils organisent chez eux. Il s’agit de partouze VIP : champagne, caviar, fesses qui sentent le Shalimar, bites à l’haleine fraîche. Harold, le maître de maison, et mon mari se rendent compte qu’ils ont des points communs comme le tir, les motos, les quads... Il y a environ deux mois, ils nous ont invités à passer un week-end à Mondorf, au Luxembourg. Harold doit y aller régulièrement pour ses affaires. L’hôtel n’est pas un 5 étoiles, mais il leur plaît avec ses différentes piscines, dont une réservée aux naturistes. On peut même se balader à poil dans une petite partie du parc. Le soir, à table, mon mari raconte ce qui est arrivé le samedi précédent. Ça me gêne, mais lui, il trouve ça amusant. Ce samedi, j’étais en plein grand nettoyage. Je déteste faire ça mais mon lui est maniaque et le matin même, il m’avait crié dessus : «?La maison est de nouveau dégoûtante, souillon?! Je veux que ce soir, tout soit impeccable.?» Pppfffff.... Un samedi à nettoyer : l’horreur ! J’avais un vieux jean sale et déchiré, un tee-shirt qui ne valait pas mieux, des gants jaunes en caoutchouc, une raclette dans une main et un torchon dans l’autre. On sonne. Mon mari, qui regardait un feuilleton à la télé, crie : — Mia, va ouvrir ! J’y vais. Il y a deux hommes. Le plus grand me dit : — Va dire à ton patron que ses potes Milo et Luc sont là. — Euh... Oui, Monsieur. Je vais dire à mon "patron" : — C’est Milou et Luc. — Ah oui, c'est des collègues. Il se lève et va ...
    ... accueillir ses potes en leur disant : — Salut les gars. Alors, vous avez fait la connaissance de ma femme. Le grand répond : — Ouch ! On a cru que c’était la bonne ! Ça les fait rire tous les trois. Mon mari raconte l’histoire à Laurence et Harold qui se marrent, eux aussi. Elle me dit : — Mia, tu dois être très mignonne en bonne. Et j’ai du mal à trouver une fille un peu mignonne quand j’organise des soirées. Je réponds : — Pour les soirées libertines ? — Non, là, on préfère qu’il n’y ait pas de personnel, il y a parfois des gens importants. C’est pour des dîners ou des après-midi où nous recevons des amis et des clients. Tu n’aurais pas envie de faire ça ? Elle se tourne vers mon mari et ajoute ; — Si tu es d’accord, bien sûr. — Bien sûr, Mia serait parfaite en bonne. Eh oh, j’suis pas une bonne, moi ! J’ai fait des études! Petites, mais quand même... Laurence me dit : — On paie 200 euros pour la soirée. Oh ! C’est beaucoup. Mais bon, je ne suis pas une bonne ! Ce qui n’empêche pas mon mari de répondre : — On est d’accord, Mia va le faire. Laurence lui tend la main en disant : — D’accord. Mon lui serre la main. Ça y est, il m’a vendue pour 200 euros ! Laurence ajoute : — Si elle est stylée et souriante, elle aura sûrement des pourboires. Des pourboires, maintenant ! D’un autre côté, pour faire des courses avec les copines, j’aurais enfin un budget. Sans devoir supplier mon mari. Sur le chemin du retour, je lui dis : — Faire la bonne chez eux, c'est quand même humiliant. — Tu ...