1. Les vacances de Mia - 1


    Datte: 23/05/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... pourras garder 100 euros et les pourboires. Point final. *** Quinze jours plus tard, Laurence téléphone vers 10 h à mon mari, car elle a besoin de moi. Il me dit : — Tu dois être chez eux à 17 h pour aider à préparer et tu seras payée 300 euros. — Je pourrai garder 150 euros ? — Oui. Yesss ! À moi les magasins de fringues! Enfin, les magasins pas trop chers. *** N’empêche, pour commencer, 17 h, c’est tôt ! En général, mon mari ne me dépose nulle part. Pour prendre le bus, je dois d’abord faire 15 minutes de marche rapide. Il m’a expliqué que c’est bon pour mes cuisses et mes fesses. Là, il me dépose chez les amis. C’est Alix, la fille de Laurence, qui vient ouvrir. C’est une jolie brune qui fait des études de droit. Je l’ai déjà aperçue, mais, je ne lui ai jamais parlé. Je lui dis : — Bonjour... euh... je... Mon mari me coupe et lui dit : — C’est Mia, la nouvelle bonne. Elle rigole et me dit : — Suis-moi. Mon mari va parler avec Harold, moi, je vais à la cuisine avec Alix. Elle s’assied et me regarde. Je suis toute gênée. Je lui dis : — C’est... euh... ta maman qui... — Je préfère que tu me dises «vous». — Oui... Mademoiselle. Ces trois phrases ont scellé nos rapports futurs. Elle pourrait être ma fille, mais, là, c’est ma patronne. Elle me dit : — Tu es beaucoup trop maquillée. Tu es ici pour travailler, pas pour draguer. Une servante n’a pas besoin de maquillage. Va dans la salle de bains et enlève-moi tout ça. — C’est pare que... comme, je suis blonde, sans maquillage, ...
    ... je suis un peu fade et... — Et alors ? On ne doit pas remarquer une bonne. Plus elle passe inaperçue, mieux c’est. Arrête de discuter et démaquille-toi. Va dans la salle de bains et enlève tout ce que tu as sur le visage. Et, Mia... — Oui, Mademoiselle — Que ça ne dure pas des heures ! Elle exagère ! J’ai un métier, moi, et je fais ça juste ça pour... l’argent. J’ai très envie d’aller dire à mon mari que je ne veux pas le faire, mais... Je vais dans la salle de bain et je me démaquille rapidement. Quand, je retourne à la cuisine et qu'elle me voit, Alix éclate de rire. Elle me dit : — Pour ce qui est d’être fade, c’est vrai que tu fais fort ! J’ai les larmes aux yeux... Elle me dit : — Ah, ne commence pas à pleurnicher ! Tu as accepté de le faire et tu es bien payée, alors assumes. Fais ce que je te dis, point final. La même formule que mon mari. Quelle garce ! Je réponds : — Oui Mademoiselle — Bien, tu as un chouchou dans ton sac ? — Euh... non... Mademoiselle. — Prends un élastique qui est là et tire bien tes cheveux en queue de cheval. On n’a pas envie de trouver tes cheveux dans nos assiettes. Moi qui avais passé du temps à bien me coiffer, je tire mes cheveux et les maintiens avec un gros élastique. Elle me dit : — Prends l’uniforme qui est dans ce placard et mets-le. — Je... je vais devoir mettre un uniforme... Mademoiselle ? Elle pousse un gros soupir en levant les yeux au ciel. Bah, au point où j’en suis... Je n’ose pas demander où je peux me changer. J’enlève mes ...