Bécassine (2)
Datte: 23/05/2020,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
... j’ai tout le temps mal. — C’est possible, en effet. — Si, si, ça doit être ça, insiste-t-elle. Ils sont trop gros. D’ailleurs ils me font mal eux aussi. — Euh… tu veux que je te les masse ? tenté-je. — Tu n’es pas obligé, mais si ça ne te dérange pas, je veux bien. « Me déranger ? Pas le moindre du monde, bien au contraire ! » Je fais glisser les deux petites bretelles de sa robe le long de ses bras et Bécassine les sort à l’air libre. Ils m’apparaissent enfin dans leur intégralité, sans aucun bout de tissu pour en cacher une partie. Deux belles mamelles gonflées avec les tétons pointus. Est-ce vraiment la grosseur de ses seins qui les rends douloureux ou le fait que ses souvenirs l’ont excitée ? Mes mains se posent enfin sur ces objets de désir, soupèsent leur poids – c’est vrai qu’ils sont lourds – et se font un plaisir de profiter de la situation. Je les caresse, les cajole et les malaxe. Bécassine a penché la tête en arrière pour la poser sur le canapé entre mes cuisses. Mon sexe bande à une dizaine de centimètres du haut de son crâne. Elle a les yeux fermés et un sourire béat. Visiblement, elle apprécie grandement ce petit massage. Et pendant ce temps-là, par chance, elle semble avoir oublié que j’étais censé lui raconter ma première fois avec un mec. — Je t’ai raconté ma première fois où j’ai touché une bite, reprend-t-elle ; mais pour faire les choses bien, il faudrait aussi que je te raconte ma première fois où on m’a baisée. — Bien évidemment. — J’étais au ...
... lycée, et j’avais remarqué qu’un de mes profs me matait souvent la poitrine. C’était pas trop mon type de mec, mais je trouvais ça marrant qu’un prof puisse bigler sur les nichons d’une de ses élèves. Du coup, à chaque fois que j’avais cours avec lui, je faisais exprès de mettre un décolleté. Je les choisissais de plus en plus plongeants et je m’installais délibérément à la table située juste devant son bureau où je penchais mon buste en avant au moment d’écrire sur ma feuille. C’est dans son cours que je me suis promenée la première fois sans soutien-gorge. Il s’est bien rincé l’œil, le salaud ! À chaque fois que je le chauffais, il avait les yeux exorbités et le visage rouge comme une tomate. Sa tronche me faisait marrer. Je dois avouer que ça me faisait bien mouiller de le provoquer. Et puis un jour, il n’en pouvait plus, alors il m’a demandé de rester après le cours. Une fois que les autres élèves étaient partis, il s’est jeté sur moi pour me peloter et essayer de m’embrasser. Il m’a pincé les seins, m’a tâté le cul. Il était comme un fou. Je l’ai laissé faire, alors il a fini par m’arracher la culotte et il m’a sauvagement baisée. J’ai pris mon pied comme une dingue, ce jour-là. J’ai passé le restant de mon année, trois jours par semaine, à me faire prendre par mon prof à chaque fin de cours. Mais parfois il se contentait juste de se branler entre mes gros seins pour finir par leur éjaculer dessus. « Purée, c’est un miracle de ne pas avoir joui dans mon pantalon ! »