1. Banane-Mangue ou Abricot-Framboise


    Datte: 24/05/2020, Catégories: ff, fbi, inconnu, train, noculotte, Oral nopéné, fdanus, uro,

    ... aucun doute. Ce fameux vieux monsieur, que je trouvais inoffensif, est donc partie prenante dans ce voyage charnel. Il faut toujours se méfier de l’eau qui dort et surtout des vieux messieurs. J’ouvre donc le livre au niveau du marque-page. Je me souviens de cette histoire, une histoire avec un chat. La lecture va-t-elle s’accompagner d’une mise en pratique ? Je le questionne du regard. Il sort une brique de crème de son sac, je vacille. J’imagine déjà le contact de cette petite langue râpeuse sur ma chatte, léchant la crème qui imprègne mon sexe. Je n’aurais jamais cru pouvoir réaliser ce fantasme. Je lis l’histoire, mais j’arrive difficilement à ne pas regarder l’homme qui prend son chat dans les bras. Il est tout petit, tout noir avec une petite langue rose. Et il a des petits crocs bien pointus. Au secours. Ne pas penser à ses crocs, juste à sa langue. Mieux, ne pas penser du tout. La folie me gagne. Oh ! Que j’ai envie de cette langue rose ! Le petit chat est par terre, il saute partout et, moi, j’essaie de me concentrer sur ma lecture, de ne pas visualiser ce que je lis : « … c’était surtout sa petite langue qui me bouleversait… Elle me balayait le bouton… J’avais l’impression qu’il me poussait un clito démesuré et excité comme jamais… Lorsque le chat se mit à me lécher le con, j’aurais crié de volupté… Je n’étais plus qu’un sexe, très ouvert, très mouillé, très vivant, palpitant d’extase… » Je suis en transe de lire ces phrases. Un arrêt de quelques minutes est annoncé ...
    ... à la gare de Meenoomooyé. Quoi ? J’ai des hallucinations auditives maintenant. Les boules de geisha sont-elles recouvertes d’une drogue, pour que je sois dans cet état-là ? L’homme descend à la gare annoncée, me laissant la chatte incandescente. La frustration devait faire partie du programme. Avant de partir, il me laisse un coffret en bois contenant un objet que je ne dois utiliser qu’après le redémarrage du train. Que faire pendant les quelques minutes d’attente ? Je ne vois qu’une solution : me caresser pour soulager la tension sexuelle. Ma jupe étant imprégnée de mon odeur, j’ai envie de l’enlever. Et si jamais une personne entre dans le wagon ? Que lui dirais-je ? Que je refais la couture de ma jupe ? Le minou à l’air ? Pas très crédible cette histoire ! Advienne que pourra, j’enlève ma jupe. En même temps, j’aimerais vraiment que quelqu’un entre, surtout un homme. J’ai envie de sentir une queue virile me prendre. Je n’en peux plus d’être excitée. Mon clito est tellement gonflé et sensible, qu’après quelques caresses, je jouis dans un long râle de plaisir. Je lèche mes doigts un à un. Ah ! Si on pouvait me pourlécher en ce moment. Ne pensons surtout pas au petit chat. J’ouvre la boîte. Un plug anal. Décidément, l’inconnu qui dirige mon voyage sensuel n’est pas à court d’idées. Tout cela va finir par une séance d’uro dans le couloir du wagon, au point où j’en suis. J’humidifie le plug dans ma chatte et l’enfonce doucement dans mon petit trou. J’ai l’impression de n’être ...
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