1. Marie amoureuse, on ne la tient plus


    Datte: 24/05/2020, Catégories: fhh, fplusag, extracon, cocus, grossexe, parking, hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, facial, Oral fgode, pénétratio, double, fdanus, totalsexe,

    ... tétons. Il s’est approché plus près de ses tétons, puis dans un geste circulaire a passé ses mains dessus. « Excusez-moi », puis il a repris ses mouvements. Quand il s’est aventuré autours de son pubis, elle a bien senti quelques frissons, et le gars l’a bien vu. Alors il y est allé carrément, en lui passant la main entre les cuisses. Marie ne l’a pas arrêté tout de suite, mais après quelques secondes pendant lesquelles elle n’avait finalement rien ressenti de très fort. Il est venu ensuite de l’autre côté de la table, s’occupant de ses jolis pieds, puis de ses mollets, puis de ses genoux et de ses cuisses. Ses mouvements revenaient toujours jusqu’aux pieds et remontaient de plus en plus haut, jusqu’à passer légèrement sous la serviette. Marie avait bien senti là aussi quelque chose d’agréable, mais elle ne mouillait pas comme une folle. C’était juste agréable. Alors quand ton masseur est devenu plus direct en lui proposant d’aller plus loin, elle l’a remercié, et elle est partie. Il a dû être déçu, alors que les premiers signes qu’elle avait donnés étaient encourageants, elle le laissait tout seul avec sa gaule… Elle rit en me disant que la cliente suivante allait se régaler. À cet instant, j’ai senti Kamel à nouveau dans notre vie. Après tout, si elle ne s’était pas laissé faire par le masseur, c’est qu’elle devait se réserver pour Kamel. C’était en tout cas ce que je déduisais de cette anecdote. À peine revenus en France, Marie est allée chez lui. Elle a rattrapé le temps ...
    ... perdu. Plus que quelques jours avant ses règles alors aucune angoisse, elle l’a laissé se vider les couilles autant qu’il ne souhaitait, c’est-à-dire à de nombreuses reprises. Le samedi suivant, j’ai joué les voyeurs, comme d’habitude. La tendresse et la durée de leurs ébats ne faiblit pas. Quand nous étions jeunes, avec Marie, on se disait « je t’aime » souvent, puis moins, puis plus du tout. Ou de temps en temps. Et je la voyais, là, le crier toutes les cinq minutes. Ce connard lui baisait la chatte et la bouche, elle le remerciait par des déclarations d’amour. À chaque fois qu’elle prononçait ces mots que j’avais tant attendus, je recevais un uppercut en plein foie, et une décharge électrique dans la queue. Sentiments et sensations indéfinissables mais ô combien foudroyantes. Elle m’avouait sans détours qu’en effet elle aimait ce garçon à la folie, et que quand elle le lui disait durant leurs ébats, il avait une vigueur supplémentaire et elle une jouissance décuplée. Elle n’avait jamais joui aussi fort qu’avec lui, dès le début de leur relation, et elle jouissait encore plus fort depuis qu’elle osait lui dire qu’elle l’aimait. Après tout, c’est bien ce que je voulais, qu’elle jouisse avec un autre, et si possible plus fort qu’avec moi. La réalité dépassait finalement de très loin mes espoirs. Un mercredi soir, alors que j’étais en déplacement, Marie m’envoie un sms pour me dire qu’elle vient d’arriver chez Kamel. Il n’est pas seul. Un copain est resté dîner avec lui. Elle ...
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