1. Lourdes et les tapas


    Datte: 25/05/2020, Catégories: fh, jeunes, copains, amour, Masturbation portrait, amiamour,

    ... Dépêche, je voudrais bien pouvoir éteindre.— Vous êtes sûres, parce que je serais très bien sur la moquette avec une couverture.— Il va falloir qu’on te supplie longtemps ? Grouille-toi. Finalement, je m’apprêtais à me glisser sous la couette quand elle m’arrêta brutalement. — C’est quoi ça ?— Ben, c’est mon caleçon.— Dis donc, tu ne veux pas un pyjama fourré, un bonnet de nuit à pompon et des chaussettes de laine pendant que tu y es ? On dort comment, nous ?— Euh, sans rien, j’ai l’impression.— Alors c’est pareil pour toi. À poil. Retire-moi ce truc, non mais des fois. De toute façon, je n’avais pas le choix. Et puis, vu ce qui s’était déjà passé entre nous ! Je finis donc de me déshabiller avant de m’allonger à ses cotés. — Et bé ! Ça ne va pas t’empêcher de dormir tout ça ? s’exclama-t-elle en riant.— Non, ça va aller. Il faut dire que vous avez fait ce qu’il faut pour, toutes les deux.— Voyez-vous cela ! Un rien t’excite. T’es sûr que tu ne veux pas que je te soulage, ça te ferait sûrement du bien. Anne-Sophie rigola puis se retourna. — Bon, maintenant on dort. Mickaël, coucouche panier, quéquette en rond. Elodie, tu baisses le volume s’il te plaît. J’en profitais pour poser une question qui me préoccupait depuis longtemps — Rassure-moi, tu ne parles pas en dormant quand même ? Je reçus immédiatement un coup de pied dans les mollets. — Pas d’insolence, s’il te plaît. Des fois, je passe en mode vibreur mais sûrement pas avec un gros cochon comme toi, j’aurais trop peur ...
    ... que ça te donne des idées lubriques. Et je te préviens, pour une fois tu vas te tenir. Pas question de te tripoter en pensant à nous toute la nuit, sinon tu laves les draps demain matin. Là, c’est Elodie qui prit mon pied dans les jambes. Elle sursauta et Anne-So râla. — Dites-donc la classe biberon, ça ne va pas durer toute la nuit quand même, je voudrais bien pouvoir dormir ! Alors on s’est calmé. Elodie s‘est enfin tue puis elle s’est tournée vers Anne-Sophie. Les deux filles ne mirent que quelques minutes à s’endormir. Moi je suis resté immobile, à me dire que ce n’était pas croyable ce qui m’arrivait, que je devais rêver, que j’allais finir par me réveiller. Mais non, je ne rêvais pas et c’était encore mieux que tout ce que j’avais pu imaginer. Je sentais la chaleur d’Elodie tout près de moi, j’entendais sa respiration. J’ai dû m’assoupir parce qu’à un moment, je me suis réveillé avec ses fesses qui me collaient. Et là, je n’ai pas pu me rendormir. Je ne voulais surtout pas bouger de peur qu’elle se déplace. J’ai attrapé des crampes à rester immobile, mais j’ai tenu bon. Toute la nuit comme ça, l’un contre l’autre, à imaginer qu’un jour, peut-être, je deviendrais beaucoup plus que le copain qu’elle avait toujours rêvé d’avoir ! Anne-Sophie s’est levée de bonne heure. J’ai fait semblant de dormir. Quand elle est ressortie de la salle de bain, elle a ouvert en grand les rideaux en lançant: « c’est libre, dépêchez vous, je vais préparer le p’tit dèj ». Alors je me suis ...
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