1. Lourdes et les tapas


    Datte: 25/05/2020, Catégories: fh, jeunes, copains, amour, Masturbation portrait, amiamour,

    ... précipité et j’ai pris ma douche à toute allure. J’étais toujours raide comme une barre à mine et après une nuit pareille, ce n’était pas près de passer ! — Ben dis donc, ça ne s’arrange pas ! Méfie-toi de ne pas rester coincé comme ça un jour. C’était Elodie qui s’étirait dans l’encadrement de la porte, comme une chatte au réveil. Totalement nue, hissée sur la pointe des pieds et les bras étendus au-dessus de la tête, elle se cambrait, le bassin en avant, dans la pose la plus belle et la plus impudique qui soit. Elle bailla, grogna, prit sa mine renfrognée puis finit par me sourire : — J’adore te regarder comme ça, toutes voiles dehors. C’est craquant, me dit-elle.— Et moi, j’aimerais que chaque matin, tu me réserves ton premier sourire. C’est ce qu’il y a de plus beau au monde.— Oh, mais Monsieur Mickaël apprend très vite ! Il va nous falloir gérer un charmeur maintenant… Je m’approchai d’elle, mis mes bras autour de son cou et déposai un baiser sur ses lèvres fermées. Elle se laissa faire mais je compris, sans qu’elle n’ait besoin de rien dire que, même si elle s’offrait sans aucune retenue à mon regard, son cœur n’était pas prêt à s’ouvrir au mien. *** Les semaines passèrent. Nous étions devenus inséparables. Au gré de l’humeur du jour, nous vivions chez l’un ou chez l’autre. J’avais mon stock d’affaires personnelles chez Elodie et chez Anne-Sophie, elles avaient transformé mon appartement en repère pour fashion-victimes. Mes tiroirs regorgeaient de jupettes, de ...
    ... petits hauts, de lingerie et de fanfreluches. Ma salle de bain débordait de pots de crème, de tubes, de brosses, de pinceaux et d’un tas d’autres ustensiles encore plus féminins dont j’ignorais jusqu’alors l’existence. Sans parler des brosses à dents rose et verte ! Je veillais à ce qu’elles ne manquent jamais de rien : les yaourts à la vanille d’Anne-So, les céréales d’Elodie et tout le reste… Le pire, c’était les tampons. Elles m’avaient prévenu, d’un ton sentencieux: « ne t’avise surtout pas qu’il en manque ces jours-là ! » Alors régulièrement, je dévalisais le rayon hygiène féminine de la superette du quartier sous l’œil suspicieux de la caissière qui devait me prendre pour un fétichiste pervers. J’avais compris depuis longtemps que les deux filles n’étaient pas farouches, je découvris rapidement qu’elles étaient même chaudes comme des lapines. Si Elodie était la plus entreprenante, Anne-Sophie jouissait d’une imagination débordante, toujours prête pour une petite fantaisie pourvu que la situation ne manque pas de piment et il était bien rare qu’une journée se termine sans un câlin à deux ou à trois, selon l’appétit des demoiselles. Elles ne dédaignaient pas non plus les plaisirs solitaires, en public bien sûr. Je fus d’ailleurs rapidement mis à contribution. Un soir de grosse envie, alors qu’elles étaient excitées comme des puces à l’idée de passer sous la couette, j’eus la mauvaise idée de traîner un peu dans la salle de bain avant de les rejoindre. Anne-So n’avait pas pu ...
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