1. Lourdes et les tapas


    Datte: 25/05/2020, Catégories: fh, jeunes, copains, amour, Masturbation portrait, amiamour,

    ... attendre et lorsque je ressortis, elle était déjà en pleine action. Toute nue sur le lit, une main glissée entre ses jambes et l’autre massant doucement ses petits mamelons rose tendre, elle se caressait, les yeux fermés, sans un bruit. Ma présence ne lui faisait ni chaud ni froid. Quand à Elodie elle finissait de se déshabiller, indifférente. Je m’assis, incrédule : Anne-Sophie se masturbant devant moi, sans la moindre gêne ! C’était incroyable ! Dire qu’il y a encore quelques semaines, un simple regard de cette fille suffisait à me terroriser ! Elle ondulait lentement, avec grâce, telle une nageuse immobile qui prendrait tout son temps. Mais la chair s’impatiente vite et son corps ne put résister à l’appel du désir. Sa main se fit plus ferme, ses gestes plus précis. Comme happée par un tourbillon, ses doigts lui échappèrent, ses soupirs devinrent halètements et ses doux mouvements tremblements. Prise de toute part, elle ouvrait les yeux et gémissait, le visage tendu, la bouche ouverte. Et puis soudain, tout s’emballa. Serrant convulsivement ses cuisses sur sa main, elle se raidit et se jeta sur le coté, les jambes repliées. Gémissant de plus belle, elle lutta quelques instants avant de succomber en poussant un long cri, recroquevillée sur son bras, dans une grimace d’orgasme pleinement satisfait. Le temps sembla se figer et elle resta ainsi de longs instants, immobile, les yeux fermés, avant de se remettre doucement à plat et de nous regarder avec un grand sourire. ...
    ... Elodie, aussi nue qu’Anne-Sophie, mais semble-t-il encore plus pressée qu’elle, finissait de ranger ses vêtements tout en se caressant. Marchant à travers la chambre une main entre les cuisses, elle faisait rouler ses lèvres entre ses doigts, les frottait, les étirait, sans même y prêter attention, comme elle se serait gratté la tête ou le bout du nez. Par moments elle s’arrêtait, passait la main dans sa petite toison, venait dessiner du bout des doigts de gracieuses courbes sur ses larges aréoles puis recommençait. Quand chaque vêtement, chaque bijou, chaque bracelet fut rangé à sa place, elle s’assit au bord du lit, les cuisses grandes ouvertes. De ses mains, elle écarta des lèvres roses et humides, déjà gonflées de désir et baissant la tête, regarda son intimité, l’air satisfaite. À cet instant, elle fit semblant de s’apercevoir de ma présence. — Dis donc, espèce de gros vicieux, tu veux ma photo ? me lança-t-elle.— J’aimerais bien, répondis-je du tac au tac, surtout dans cette position. Je pris immédiatement un coussin dans la figure. — Méfie-toi, me dit-elle en souriant. Je pourrais me remettre à dessiner ce soir ! Puis elle se retourna et s’allongea à plat ventre près d’Anne-Sophie. La tête sur le coté, les yeux fermés, elle glissa ses deux mains sous son ventre et reprit ses caresses en silence. Fasciné, je restais immobile, regardant ses fesses et ses épaules se soulever doucement, devinant le lent mouvement circulaire de son index sur son petit bouton, imaginant le ...
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