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Le Resort (5)
Datte: 01/10/2017, Catégories: Trash,
... revenir sur le dos, 622. — 622 ? — C’est votre matricule. À partir de maintenant, vous n’avez plus de nom ici. Cet identifiant est le vôtre : section 1, matricule 622. » Elle me voit grimacer d’inconfort : « Croyez-vous que mon derrière va s’habituer à porter cette... chose ? — Sans aucun problème. Je vous recommande pour aujourd’hui de le porter une heure sur deux. Vous vous reposerez dans votre chambre. Ce n’est que demain à 08h00 que je l’activerai dans le système. Même si vous n’êtes pas tenu de le porter dans vos appartements, laissez à votre beau derrière la chance de s’y habituer. Vous pourrez le retirer pour la nuit. — Donc, avec ça dans le cul, on peut savoir à tout moment où je me cache ? — Tout à fait, me répond la belle qui me confie toutefois un secret qui me sera plus tard utile : « Les GPS sont automatiquement désactivés la nuit entre 01h00 et 02h00 car tous les systèmes informatiques de nos installations sont en mode de maintenance. Mais ça, me chuchote-t-elle, c’est entre vous et moi !» Je semble fort probablement étonné de recevoir cette révélation concernant cette faille dans le système de sécurité de l’île ...
... : « Vous m’inspirez confiance, 622. Vous me semblez spécial : quand je me suis empalée sur vous, j’ai connu un feeling tout à fait bizarre mais combien agréable ! Et votre foutre était tellement délicieux ! Il m’a remplie de bonheur. J’aimerais que tous nos nouveaux Actifs soient comme vous ! » Je suis maintenant debout, sur le point de quitter. Toujours nue comme moi, Caroline met ses bras autour de mon cou. Nos corps se collent. Je recommence à bander. La fille met ses lèvres sur les miennes. Elle enfonce son piercing dans ma gorge. Nos yeux se ferment. Elle se retire : « On n’ira pas plus loin, 622. Si tu viens de nouveau maintenant, tu auras des contractions anales douloureuses. Mais j’espère bien te revoir sur la plage et avoir l’occasion de goûter ton foutre dans mes antres d’amour ! me dit-elle sur un ton enjoué. » Elle me tapote les fesses, puis : « Allez, bon repos. Demain sera peut-être une grosse journée. Ciao ! » Je me rhabille et quitte le département. Le reste de ma journée sera consacré à respecter les directives de celle qui m’a changé d’être humain en objet sexuel. (À venir : Nouvelle mission pour Catherine)