Ma drole de famille (8)
Datte: 26/05/2020,
Catégories:
Lesbienne
Nous les rejoignons dans ma chambre. Paule est allongée sur le dos, les bras en croix, les jambes légèrement écartées et pliées, la tête sur le côté, les yeux fermés, un léger sourire aux lèvres. Elle respire doucement, ses seins libres, aux tétons bien pointés, montent et descendent régulièrement. Son pubis est lisse et un peu rose. On distingue bien ses petites lèvres et son clitoris au milieu, il est un peu proéminent et bien gonflé. On voit qu’elle vient de jouir intensément il y a très peu de temps. Brigitte est à genoux sur le lit à côté d’elle, nue elle aussi, elle la contemple amoureusement. Aline se penche sur sa sœur et lui dépose un tendre baiser sur la bouche. –Coucou ma chérie, comment te sens-tu ? Paule ouvre les yeux, voit sa sœur, lui sourit. Elle passe un bras derrière sa tête et pose ses lèvres sur les siennes une seconde. –Je vais très bien ma chérie, je suis heureuse comme jamais je l’ai été. J’aime une fille qui m’aime, même si de temps en temps nous pourrons aller voir ailleurs si l’herbe est plus fraîche. –Ok, je vous souhaite tout le bonheur que vous méritez. Je t’aime ma Paule chérie. –Moi aussi Aline je t’aime. C’est touchant, mais le temps passe et je m’approche du lit. –Ok les filles, tout ceci est parfait, mais je crois qu’il est temps d’aller au restaurant, toutes sur le pont, nous partons dans dix minutes. Les filles se précipitent dans leurs chambres respectives me laissant seule. Je prends une douche rapide et enfile une robe d’été courte, ...
... boutonnée devant, bien marquée à la taille et un peu ample. Juste un petit slip et le tour est joué. Nous sommes toutes en robe, moulantes pour les jumelles et la robe rouge pour Brigitte. Nous arrivons dix minutes plus tard au restaurant situé en pleins campagne, mais d’une telle réputation qu’il ne reste plus de places, heureusement qu’Henri a réservé. Nous faisons un excellent repas, foie gras, écrevisses, gigot en croute, fromages du coin, vacherin flambé, un vrai régal, il y avait longtemps que je n’avais mangé de la sorte. Vers quinze heures, tout le monde rentre à la ferme. Nous rentrons tous à la ferme et finissons la journée dans la piscine. Nous sommes tous en maillots de bains et je remarque qu’il n’y a pas que Michel qui est bien monté dans cette famille, le slip d’Henri laisse entrevoir un sexe d’une taille plus que respectable. J’ai quelques difficultés à rester calme, mais je ne peux m’empêcher de mouiller mon slip de bain, c’est pourquoi je reste pratiquement toute l’après-midi dans l’eau. Vers dix-huit heures, Henri et Brigitte vont s’habiller. Il la ramène chez elle et est de retour une petite heure plus tard, juste au moment où tout le monde met la table. Nous dinons dans la bonne humeur, la journée a été agréable et tout le monde est en forme. Moi, par contre, je suis un peu frustrée, passé l’après-midi à côté de deux magnifiques sexe d’homme sans pouvoir en profiter. De plus les filles ne faisaient rien pour me calmer, elles n’ont cessé de venir me frôler en ...