1. Ma drole de famille (8)


    Datte: 26/05/2020, Catégories: Lesbienne

    ... laissant trainer leurs mains sur mon corps, ce qui avait pour effet de m’exciter encore plus. J’ai essayé de les arrêter, mais cela n’a pas été possible, elles s’amusaient trop à m’exciter. Nous finissons dans le salon avec un petit alcool. Vers vingt-deux heures, je monte dans ma chambre prétextant une grosse fatigue. Une fois là-haut, je ma déshabille et vais prendre une douche en laissant bien mon rideau ouvert pour que Michel puise me voir s’il est dans sa salle de bain. Je me badigeonne de gel douche sur tout le corps en insistant plus que de raison sur mon sexe glabre. J’aime le contact de cette peau lisse et douce de mon pubis. Un doigt se glisse entre les lèvres, je m’adosse au carrelage de le douche face à la baie vitrée et me masturbe sans retenue. En moi-même, j’espère que Michel est dans sa salle de bain, mais je n’arrive pas à voir quoi que ce soit chez lui, il fait nuit, et la lumière est éteinte. Je réalise que mon attitude est un peu outrancière, j’arrête donc de me masturber, je ne veux pas donner à Michel l’impression que je suis une pute. Je continu de me laver en prenant tout mon temps, je me retourne pour bien montrer mes fesses que je caresse plutôt que je ne les lave, de même pour mes seins et le bas de mon ventre. Tout à coup, j’ai l’impression que quelque chose bouge dans la chambre de Michel, je suis sûre qu’il se cache derrière les rideaux. Je sais qu’il peut bien me voir de sa chambre. Je continu comme si de rien n’était. Je fini par sortir de la ...
    ... douche et me sécher. J’enchaine sur une séance de démaquillage en prenant une fois de plus tout mon temps. Je me tourne et me retourne constamment pour qu’il soit bien imprégné du moindre centimètre carré de mon corps. Tout ceci m’excite et ma cyprine coule doucement de mon sexe. Au bout de trois quart d’heure, je sors de la salle de bain et éteint la lumière, mais cette séance d’exhibition m’a excité et il faut que je me calme. Mes cuisses sont souillées par ma cyprine, mon sexe est lubrifié et chaud et ne demande qu’à être envahi. Je prends le gode gonflable, le gonfle jusqu’à ce qu’il fasse cinq cm de large et vingt-cinq cm de long. Je le ventouse sur le sol de la chambre, m’agenouille de manière à le présenter à la verticale de mon sexe. Je me laisse descendre dessus. Je suis tellement excitée que je sens à peine le gland m’ouvrir les lèvres et se frayer un passage jusqu’au fond de ma vulve. Je monte et descend sur ce pieu raide qui glisse sans efforts à l’intérieur de mon sexe. J’ai l’habitude et je sais faire en sorte de faire monter le plaisir doucement. Je suis capable de me pistonner pendant plusieurs minutes avant que les muscles de mes cuisses ne demandent grâce. Je sens le plaisir monter, je fais défiler des images de Michel nu dans ma tête ce qui exaspère mon plaisir. Je ne veux pas toucher mon clitoris, je veux jouir avec mon sexe. Une onde se forme sur mes lèvres, se diffuse dans tout mon sexe avant d’envahir mon corps tout entier. Je vibre, je tremble, je suis ...
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