Valérie : l'insoupçonnée (14)
Datte: 26/05/2020,
Catégories:
Hétéro
J’envoie un message à Valérie pour l’informer de ce qu’il vient de se passer à mon travail. Elle répond : — boss absent, suis seule e g cho. — ai envi de te voir vite — vendredi midi. — non. plus vite. — demain midi ? — peux pas. tu finis a kel h ce soir ? — 22h — pour rentrer, tu pass par rte de gresy ? — oui — sortie villard park 500m a droite — ok Messages effacés. Il fait toujours aussi chaud. Je pars à 22h, Le parking est à vingt minutes de chez moi. Le parking n’en est d’ailleurs pas vraiment un : situé en léger contrebas de la route, à l’intérieur du virage, il s’agit plus d’une petite aire de repos. La voiture de Valérie est déjà là. Je me gare derrière elle. La jolie brune en sort et nous passons derrière sa voiture. Nous nous embrassons. Elle rit : — Mmmh, tu es tout beau, tu sens bon, pas comme moi ! Cet après-midi, je me suis retrouvée à chercher un document dans un local en préfabriqué posé en plein soleil. Il m’a fallu dix minutes. J’ai cru que j’allais mourir de chaud. Elle dégage en effet une forte odeur de transpiration, son corps est humide. Je descends les bretelles de son top et embrasse ses seins au goût salé. J’ai envie de descendre plus bas. Valérie m’arrête : — Houla non, mon grand ! N’y penses même pas. Je me redresse et l’embrasse : — Et pourquoi pas ? Nous nous caressons et nous embrassons. — Parce que j’ai transpiré depuis 8h ce matin, parce que j’ai mouillé en pensant à toi, parce que je me suis masturbée, parce qu’on a fait l’amour, parce que ...
... j’ai bu plus de deux litres d’eau et j’ai beaucoup fait pipi. Je sais dans quel état est mon minou à l’heure actuelle et il n’est pas du tout présentable ! Elle éclate de rire. — Laisse-moi au moins vérifier par moi-même. — C’est à tes risques et périls ! Elle rit à nouveau. Je l’embrasse et sourit. Elle comprend : — C’est un mobile de divorce, tu sais… Étonné, je lui demande pourquoi. — Un mec qui ose me lécher dans cet état, je l’épouse sur le champ. J’ouvre la porte arrière de sa voiture et la couche dedans. Alors que je me penche sur ses jambes, les effluves de son sexe me parviennent alors que je dépose un baiser sur son string blanc. Celui-ci est humide et taché. Je le retire lentement. Son état laisse effectivement à désirer. Valérie écarte lentement les jambes alors que j’embrasse l’intérieur de ses cuisses. Sa moule sent excessivement fort. Une odeur âcre, lourde, entêtante. Des traces blanches et poisseuses constellent sa vulve ça et là. Ma langue glisse sur son clitoris, sur ses lèvres puis entre celle-ci. Je n’ai jamais lécher un sexe avec autant de saveurs. Très salé et fort, le goût de la chatte de Valérie me rend frénétique. Je lèche l’intégralité de son sexe, la faisant jouir à plusieurs reprises, et finis la bouche et le nez plantés entre ses lèvres, la langue loin dans son sexe. Je ne peux plus m’en détacher. Valérie m’attire à elle. Je déboutonne mon bermuda et la pénètre. Pendant que je vais-et-viens en elle, elle dit : — Tu es le partenaire sexuel dont j’ai ...