Valérie : l'insoupçonnée (14)
Datte: 26/05/2020,
Catégories:
Hétéro
... toujours rêvé… Je jouis rapidement. Nous sortons de la voiture. Le string de Valérie est à terre, dans la poussière. Elle rit : — Au point où il en était… Nous nous embrassons. Valérie doit vraiment y aller. — Vendredi à midi, tu peux ? — Oui, sans problème. Valérie hésite. Elle doit partir mais quelque chose la retient. — Il faut que je te dise… Elle sourit. — Ton doigt à midi, dans mes… dans mon… Elle rougit un peu. — Je ne sais pas comment dire ça. Je trouve que c’est super gênant. — Tu n’as pas aimé ? — Si, justement… Valérie ferme les yeux, inspire profondément et… — J’ai adoré, les sensations étaient géniales, je veux recommencer, vendredi, et merde, tout le plaisir que j’ai pris, je crois que je pourrais me laisser tenter ! Elle a dit ça d’un coup. Je souris, l’embrasse. — Tu veux essayer la sodomie ? — Je crois que oui. Pfff, il y a un mois, je ne supportais pas que mon mari s’approche de cette zone et… — Et tu as envie de te faire enculer ! tcvtggif Elle sourit. — T’es con ! Dernier baiser. Valérie remonte dans sa voiture et s’en va. Je rente chez moi l’esprit ailleurs. Je repense à ce que vient de me dire Valérie et il me tarde, bien évidemment, d’être vendredi. Je dois faire de gros efforts de concentration pour conduire. J’ai ensuite du mal à m’endormir, je suis trop excité. Je dois aller me masturber aux toilettes. En imaginant sodomiser Valérie… Le jeudi est un jour d’efforts quasi surhumains : efforts de concentration au travail, efforts pour résister à l’envie ...
... d’écrire à Valérie. Huit heures qui paraissent durer une éternité. De retour à la maison, je vois arriver ma femme quelques minutes après moi. Elle m’excite toujours autant, là n’est pas le problème, surtout dans cette robe marron à pois blancs, surtout avec ses bas résilles. Elle se refuse à moi, mais dans mon état, je suis largement prêt à affronter un énième refus. Je la rejoins dans la salle de bains. Elle se démaquille. Derrière elle, je l’embrasse dans le cou. — Qu’est-ce que tu fais ? — Je t’embrasse, je te câline, j’ai envie de toi. — Pas maintenant, je suis fatiguée. Je continue à l’embrasser. — Pas maintenant, je t’ai dit. Je vais me changer. J’attrape le bas de sa robe et soulève lentement. Elle me laisse faire sans rien dire, ce qui me surprend. Lorsque j’arrive sous les bras, elle les lève afin que le retire complètement la robe. Elle continue de se démaquiller et je dégrafe son soutien-gorge. Là encore, elle joue le jeu. J’embrasse ses épaules, son dos. Je la pelote tendrement. Elle ne réagit pas mais déjà, elle me laisse faire : il y a plusieurs mois que je n’avais pas touché ses seins. Mes mains descendent ensuite sur ses hanches et je fais glisser son tanga vers le bas. Il tombe part terre. Elle se tourne. — Ok, mais on fait vite, je suis crevée. Je l’embrasse dans le cou, caresse à nouveau sa poitrine et l’emmène dans la chambre. Elle se couche sur le lit et je lèche son minou. Elle veut que je vienne en elle, mais j’insiste. Et je m’applique. Je veux faire ...