1. Le plombier


    Datte: 29/05/2020, Catégories: fh, extracon, Collègues / Travail préservati, bourge,

    ... regarde en contre-plongée : — Posez, j’en ai encore pour une minute. Elle lui fait signe qu’elle ne sait pas où poser. Et comme dans un jeu de cour de récré, elle entreprend précautionneusement de passer par-dessus son torse, tout en plaquant sa robe contre ses jambes de sa main disponible. Il devient écarlate mais lui dit d’un air détaché : — Vous donnez pas tant d’mal, j’en ai déjà vu, des petites culottes. Puis, glissant sa main sur son mollet et remontant vers la cuisse : — J’en ai même retiré quelques unes… Elle saute vivement de l’autre côté comme s’il l’avait brûlée, renversant une partie de la tasse au passage. — Excusez-moi, il faut me comprendre aussi, vous venez me tournez autour avec une jupe au ras des fesses, je ne suis qu’un homme !— Bien sûr, tout est de ma faute, c’est moi qui m’excuse… C’est que… je ne voyais pas ça comme ça. La culotte tout de suite…— Ah, ce n’est pas l’intention qui te choque, mais l’ordre des opérations… Très bien, reprenons donc dans l’ordre. Délicieux, ce thé, enfin ce qu’il en reste. Non, ne te dérange pas je vais nettoyer, je donne toujours un petite coup en partant. Enfin je veux dire, de balai. Ah je t’ai fait rire, tu sais que tu as un très joli sourire, je l’ai remarqué la première fois que je suis venu. Alors tu veux profiter des beaux jours, c’est léger comme tissu, dit-il en tendant la main vers sa taille. C’est bon, c’est dans l’ordre ? Je peux continuer un petit peu ? Il l’attire contre lui, l’embrasse d’abord doucement du ...
    ... bout des lèvres, puis à pleine bouche et à pleine langue. Puis il la soulève par la taille : — Tiens, assieds-toi sur le lavabo, tu seras mieux et moi je n’aurai pas besoin de me baisser. Sauf pour manger tes seins, dit-il en baissant les bretelles de la robe pour découvrir les pointes roses et grenues qu’il dessine du bout de la langue. Pendant ce temps, ses deux mains pétrissent l’intérieur des cuisses ouvertes qui l’enserrent, mais il s’arrête à la lisière du fameux slip qui garde toujours son mystère. Elle respire profondément, palpitante de désir et d’appréhension : c’est juste un délire, un rêve, c’est pour rire, qu’est-ce que je suis en train de faire ? Il la soulève soudain d’un seul bras comme une enfant et descend sa culotte de l’autre main : — On ne va quand même pas se laisser embêter par un petit bout de tissu, je t’ai dit que je sais les descendre avec brio. Le voici à genoux devant elle. Les cuisses largement écartées, elle le laisse poser ses pieds sur ses larges épaules. Après la petite appréhension du premier contact de sa langue, elle se sent parfaitement ouverte et épanouie comme une fleur au soleil. Au bout de quelques minutes, il a la bonne idée de visiter les lieux du doigt conjointement à la langue. À cette sensation nouvelle, elle pousse un cri de plaisir et d’excitation. — Prends-moi, murmure-t-elle. Il continue comme s’il n’avait pas entendu. — Prends-moi, prends-moi, dit-elle de plus en plus fort. Il se redresse, glisse deux doigts dans sa poche pour ...