1. Après la sangria


    Datte: 30/05/2020, Catégories: fh, couple, vacances, hotel, amour, Oral

    C’est en rentrant dans notre chambre d’hôtel que je comprends que Tina a beaucoup aimé la sangria du petit bar à tapas du front de mer. Et elle n’est pas décidée à éteindre les lampions de la fête ! Je ne sais pas si c’est parce qu’elle est un peu imbibée de boissons qu’elle est désinhibée, mais je la trouve bien excitée, tout à coup. Elle m’attrape par le cou en titubant et elle me lance dans le nez, en même temps que des relents d’alcool et d’agrumes : — Dis ? Tu me fais une sodo ?— Je crois que tu as plutôt besoin d’un seau d’eau, oui ! Ça remettrait tes idées en place !— Idiot ! J’ai envie de te récompenser de m’avoir fait passer une aussi bonne soirée.— C’est vraiment moi que tu veux récompenser, ou bien c’est toi ?— C’est selon… Les mimiques de fausse timide qui suivent sa réponse me font sourire car une timide comme elle ferait rougir bien des hommes : Tina m’effeuille sans complexe et sans demander mon avis. Elle a maintenant les pommettes remontées par un grand sourire d’excitation joyeuse. J’ai presque autant de mal qu’elle à rester debout tellement elle me bouscule pour me déshabiller. Il faut même que je la soutienne pendant qu’elle défait les boutons de ma chemise en passant la pointe de sa langue sur ses lèvres. Elle attrape ma ceinture et elle me plaque contre elle en gloussant d’excitation. Voilà qu’elle pelote – que dis-je – qu’elle malaxe mes fesses à pleines mains, oui ! Je hausse les sourcils tellement je n’en reviens pas. Avec des yeux pétillants et ...
    ... en mordant ses lèvres pour ne pas éclater de rire, elle glisse sa main dans mon pantalon, juste à l’entrejambe. Je sens aussi, rien qu’à la façon dont elle roule des épaules, qu’elle s’ingénie à presser ses petits seins contre mon torse pour me provoquer de leur contact ferme. Mes lèvres commencent à chercher sa bouche… Pour être sûre que je ne lui résisterai pas, elle prend la précaution de m’exciter sans vergogne : elle masse mes testicules contre sa cuisse, qu’elle remonte entre mes jambes et elle écrase son sexe sur ma cuisse dans un roulement de cul ravageur. J’en perds les pédales et ma fausse assurance virile. Je fais le timide. C’est peut-être aussi pour jouer au séducteur pris à son propre jeu. Pendant que je caresse son oreille avec la pointe de ma langue, je susurre : — Doucement, s’il te plaît. Étonnée, Tina recule un peu la tête et me fixe un instant de son grand regard bleu, comme pour tenter de lire sur mon visage ce qu’elle vient d’entendre. Puis, rassurée, elle plonge ma main dans son chemisier, jusqu’au fond de son soutien-gorge et elle demande d’un air narquois : — Tu n’aimes pas ça, peut-être ?— Tu sais bien que j’adore ! Mais à la vitesse o๠ça part, j’ai peur de crier mon plaisir trop fort. Les occupants des autres chambres ne sont pas loin, tout de même.— Tu es devenu timide ? Si ça te gêne de crier, tu peux faire comme d’habitude, tu peux te bâillonner avec un oreiller. Ça ne me dérangera pas, bien au contraire ! Ça me rend folle d’entendre tes cris ...
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