1. Après la sangria


    Datte: 30/05/2020, Catégories: fh, couple, vacances, hotel, amour, Oral

    ... étouffés quand je sais que c’est moi qui te fais hurler. Et j’ai toujours l’impression que tu vas avaler l’oreiller avec toutes ses plumes.— Moque-toi bien de moi.— Pas du tout ! T’es mignon. Quand tu fais ça, tu me fais penser à un chat qui besognerait sa chatte en s’étouffant avec une poule pour que ses congénères ne l’entendent pas jouir, pour qu’ils ne viennent pas lui voler sa conquête. Mais nos voisins de chambre ne sont pas des chats ! Et ils ne se rendront compte de rien. Allez ! J’ai envie de jouer à chat perché, à chatte percée… à domino-dominette, à dominant-dominé…— Et y’en a qui disent que je suis un macho. On dit comment, quand c’est une femme qui est macho ? D’un roulement d’épaule, elle prend soin de bien exposer les renflements soyeux de ses seins comprimés dans l’échancrure de son chemisier. Juste sous mes yeux. Ou plutôt, en plein dans le mille de mon envie d’elle, puis elle lâche : — On dit salope, peut-être ?— Ah ! Non ! Pas moi ! Ou alors : mon adorable salope. Ça, je veux bien le dire.— Et quelle est la nuance, monsieur le philosophe ? Elle demande ça en malaxant mon sexe à pleine main, dans mon boxer. Je ne sais pas si c’est à cause de la fraîcheur de ses doigts ou de leurs contractions lancinantes sur mes bourses mais j’ai l’impression que tout mon sexe est brûlant. En agrippant son poignet pour empêcher Tina de continuer à se servir sans retenue, je réponds : — Adorable ! C’est ça, la différence. Arrête ! Lâche mes couilles s’il te plaît ! Donc, ...
    ... avec énormément d’adoration et de respect. Tout simplement ! Ou encore, avec du plaisir partagé… Lâche-les ! C’est pas de la pâte à modeler ! Et puis, ce ne sont pas les mots qui comptent. C’est ce qu’on pense en les prononçant.— Hou, là, là ! Je sens que tu vas encore faire une envolée lyrique de poète. Là, elle a déjà sorti mon pénis de mon jean. Elle commence à me masturber en plantant son regard d’allumeuse jusqu’au fond de mes yeux. Comme si elle essayait de masturber aussi mes prunelles ! — Ne te moque pas de moi ! C’est sérieux, mon adorable et toute tendre salope. Elle quitte son chemisier en m’aguichant du roulement de ses seins gonflés au point de faire craquer son minuscule soutien-gorge en dentelle rouge. Ça me donne des envies de saveurs pimentées et presque aussi piquantes pour m’exciter que ses œillades outrageusement provocantes. Avec un sourire radieux, elle donne une tape sur ma fesse. Puis elle lance, avec l’air le plus aguichant qu’elle sait prendre quand elle veut jouer : — Tu monte, beau gosse ?— Tout de suite ma petite pute. C’est combien ?— Pour la pipe, c’est un lèche-minou. Pour la totale, c’est cinq baisers langoureux. Et tu payes d’avance, mon lapin ! Je sais que c’est cher, mais c’est le tarif pour une belle salope… Elle a dit ça en baissant un bonnet de son soutien-gorge pour montrer son sein. Elle suce son index, elle le glisse sur l’aréole pour faire pointer son mamelon en me lançant un regard plus allumeur qu’un lance-flammes, puis elle continue ...
«1234...11»