Ma femme dominatrice m'offre à ses copines-partie 10 - de retour chez Béa
Datte: 30/05/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... craquante, ça va être une bonne soirée. Elle me guide vers son « donjon ». La lanière autour de mon gland, la traction de Béa sur la chaînette me procurent une sensation savoureuse. Juste avant de rentrer dans la pièce elle m’arrête et me dit : « pour le début de la soirée tu ne verras rien » et elle me fixe, avec des scratches prévus pour cela, des obturateurs sur ma cagoule, au niveau des yeux, je suis aveugle. Elle me tire dans la pièce, des chuchotements, des petits rires. Je ne sais pas qui est là, ni combien ils, elles, sont. Ça m’excite terriblement. Béa me dit de lever les bras, des mains me guident et m’attachent les poignets et les chevilles. Me voilà immobilisé, bras et jambes écartés en croix. - le voilà bien fixé, notre petit cocu, on va pouvoir commencer, annonce Béa. Comme à chaque fois mon cœur bat la chamade dans ma poitrine, je suis excité à mort, que va-t-on me faire ? je frémis déjà de plaisir anticipé. On tourne autour de moi, des mains commencent à me caresser partout, puis on m’administre des petites tapes sur la poitrine, le cul, je suis chatouillé. Aïe, les chose sérieuses commencent, on me pince les tétons, les tapes sur les fesses se transforment en claques méthodiques, une main vigoureuse me prend le sexe, une autre me tire les couilles, je ne peux pas bouger, je ne vois rien, c’est délicieux, je gémis de plaisir. - alors mon cocu, mon petit esclave adoré, on est venu se faire torturer un peu ? tu vas être servi ce soir, je crois. C’est maîtresse ...
... (en fait mon épouse chérie, mais qui devient ma dominante, ma maîtresse, lors de ces soirées hot). Un coup de cravache sur le cul me surprend. - réponds à ta maîtresse, esclave cocu. C’est maîtresse Béa. On m’appelle le cocu, depuis que ma femme baise avec d’autres mâles durant ces soirées, devant moi, pendant que je dois la regarder, souvent fouetté par ses copines dominatrices. Ma chérie et moi nous tirons une jouissance extrême de ces situations, nous les avons crées, nous sommes demandeurs et nous assumons parfaitement ces choix. En dehors de cela nous redevenons un couple normal, uni, respectueux l’un de l’autre, très amoureux. C’est peut être spécial, mais on s’en fout, c’est notre vie, c’est nous deux. - oui , maîtresse, merci maîtresse, je crois que je vais passer une bonne soirée, je réponds. - Eh bien, tant mieux, il y a des maîtresses qui vont bien s’amuser avec toi, je crois. Moi aussi d’ailleurs je vais bien m’amuser. Ça ne te dérange pas, cocu, si je me fais baiser pendant que tu te feras fouetter ? - Non, maîtresse, profitez en bien maîtresse. Béa éclate de rire, ça fait partie de notre jeu. Elles savent toutes que j’adore être humilié, je suis un cérébral, comme dit ma chérie. Ça contribue à mon plaisir et elles ça les excite aussi, me racontent-elles. On se dit tout après nos séances, nos envies, nos plaisirs réciproques, ce qui nous plaît, etc … La main qui me tient la verge commence à me branler en me serrant très fort, une masturbation énergique, qui passe ...