Ma femme dominatrice m'offre à ses copines-partie 10 - de retour chez Béa
Datte: 30/05/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... sur la lanière fixée à l’arrière de mon gland. C’est fort comme sensation, un peu douloureux. Une dizaine d’aller retour, puis elle s’arrête et me lâche. Les claques sur mon cul ont cessé, remplacées par des coups de martinet sur le dos et les fesses. Puis je suis de nouveau branlé. Béa me fait : « comme tu ne vois rien, je vais te faire les commentaires. Pendant que tu te fais branler comme un cochon, eh ben ta femme est en train de sucer deux belles bites. Elle y va la salope, elle est à genoux sur le lit et pompe comme une malade, tu es content, dis nous. » - oui maîtresse, je suis ravi qu’elle ait du plaisir. - Ils lui mettent leurs grosses bites tout au fond de la gorge, écoute… Effectivement j’entends les râles de ma chérie, les grognements caractéristiques, ça augmente encore mon érection. La masturbation reprend, puissante, rapide, avec des gestes saccadés, méthodiques. Je suis dominé complètement, je m’abandonne à ces maîtresses, je ne sais toujours pas qui elles sont, ni qui baise ma femme. Mais on joue, je sais que je peux faire confiance à Béa et à ma femme, ma maîtresse. Elle va prendre énormément de plaisir ce soir, je le sais et j’en suis heureux. Ma verge est secouée constamment à partir de la chaînette fixée à mon gland pendant que je suis fouetté au martinet par deux personnes au moins. J’en prends sur le dos et en même temps sur la poitrine, le ventre, quelques coups sur ma queue. Je pense que c’est Béa qui secoue énergiquement la chaîne attachée à ma ...
... verge, c’est un peu comme se faire branler, en tous cas j’aime. De temps en temps on arrête le martinet et je suis caressé, chatouillé, pincé, griffé légèrement aussi. Le but est de me procurer la petite douleur qui reste plaisir, dans mon statut de soumis, jamais de me faire vraiment mal ou de me blesser. J’apprécie beaucoup, les maîtresses qui s’occupent de moi sont douées, j’ai hâte de les voir. Béa continue ses commentaires, je perçois des bruits sans équivoque sur le lit devant moi. J’entends ma petite femme gémir de bonheur, elle doit s’en donner à cœur joie. - tu entends comme c’est bon pour elle. Elle est sur le dos, ils lui ont relevé les cuisses, elle se fait bien défoncer la chatte, une autre bite lui baise la bouche. J’imagine la scène entre deux coups, ça chauffe terriblement mon dos et ma poitrine, je suis aux anges, c’est bon, bien dosé. On me trifouille le gland, mon sexe est libéré de la chaînette et une bouche chaude me gobe. Les coups de martinet me cinglent de plus en plus fort. Je subis une fellation méthodique mais qui est calculée pour ne pas me faire jouir. Ce doit être Béa, elle me connaît bien. J’entends ma maîtresse hurler de plaisir sur le lit, je pousse mon bassin en avant, je veux jouir, rien à faire, une main autoritaire m’empoigne les couilles et serre, ça calme mon ardeur. La bouche me quitte, le martinet cesse. - tu veux voir ce qui se passe, cocu ?, fait Béa - oh oui maîtresse, s’il vous plaît. Je sens Béa qui s’approche de moi, elle m’ôte les ...