1. Fontaine, je ne boirai pas de ton eau !


    Datte: 31/05/2020, Catégories: fh, hh, boitenuit, amour, Transexuels 69, hsodo, confession,

    ... yeux découvrent son sexe tendu. La petite chose fripée s’est émancipée. Je découvre une verge fine, à peine marquée par les veines et terminée par un gland rose. Mais aussi elle se cambre, arrondissant les reins pour me proposer son petit trou qui doit s’impatienter et se referme déjà. Ma queue le réinvestit et je me penche sur ma maîtresse pour aller lécher ses seins, et surtout retrouver les lèvres sensuelles. Je la baise avec force. Son souffle se faufile dans ma bouche avec sa langue et sa salive. Je m’éloigne pour ne pas l’étouffer et pour regarder son visage. Elle est si belle, les yeux fermés sur son plaisir, un pli aux commissures des lèvres, et surtout ce petit gémissement délicat à chaque fois que je pousse ma queue au plus profond de son intimité. Ma résistance a des limites. Ma jouissance arrive. Mon jus monte et jaillit. Chaque jet est une délivrance. Cela fait si longtemps que j’avais envie d’elle ! Des jours et des jours que je retrouve des habitudes d’adolescent pour faire retomber la pression et ne pas passer mes journées à fantasmer. Un dernier baiser. Un merci à l’oreille qui fait chaud au cœur. Je me redresse. Ma queue coule du conduit, entraînant avec elle quelques traînées de ma semence. Le sexe de Pauline est toujours bien dressé. Elle bande encore. Je me sens un peu bête et ignorant du plaisir qu’elle peut ressentir. Homme ? Femme ? Les deux ? Sans réfléchir je m’empare de la queue si fine et longue. Elle est en accord avec Pauline, tout en charme et ...
    ... jamais vulgaire. J’en fais facilement le tour, mais j’en découvre par contre la longueur. Elle frémit. La peau coulisse sur la hampe. Le gland montre une gouttelette au méat. Mes yeux vont du visage de Pauline à son sexe, en passant par sa poitrine. Je m’habitue doucement. J’ose un geste que je n’aurais jamais cru possible. J’ose avancer le visage vers lui. Je ne sais pas ce qui m’entraîne, mais j’ose poser mes lèvres sur lui. Ma langue joue sa propre partie et découvre la finesse de la peau. — Viens, me dit Pauline en me faisant un geste de la main. J’obéis, et bientôt je la chevauche en 69. Mon sexe pend vers sa bouche et y disparaît. Le sien semble se relever pour que je le prenne dans la mienne. C’est étrangement pervers. Pauline me suce, et moi aussi. Mais elle s’aventure dans une zone peu habituée à être caressée. Sa langue glisse sur mon petit trou, joue avec ma rondelle. C’est étrange, encore jamais expérimenté. Mais aussi elle devient plus audacieuse ; sa langue laisse la place à ce que je devine être un doigt qui pointe. Il pointe, mais encore plus, il entre. Je sens parfaitement cette intrusion. Il entre pendant que les lèvres reprennent possession de ma verge, ma verge qui déjà reprend de la vigueur. J’ai la bouche pleine et je m’efforce de sucer – non, de pomper – le dard fin mais ô combien long. Mon cul est pris par ce doigt qui joue avec, et je sens qu’un autre doit venir le rejoindre. Ce n’est pas douloureux. Étrange, troublant ; sensation de ne plus être son ...