Pour ma fille
Datte: 01/06/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
couleurs,
fsoumise,
hdomine,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fsodo,
confession,
bourge,
... raisonner : — Nous allons finir dans le fossé, si tu continues. En fait, j’ai très envie « de finir dans le fossé » avec lui, mais sans la voiture. Je sens mes seins pointer, mon ventre se nouer. Finalement, il enroule mon débardeur juste au-dessous de mon buste et se calme. Nous arrivons à destination, il me guide dans le dédale de l’immense cité coincée contre les voies ferrées. Une fois garé, il me dit, sur un ton langoureux : — J’en ai pour une bonne demi-heure, attends là. Je connais un petit coin tranquille où je t’emmène ensuite. Je remets de l’ordre dans ma tenue pendant qu’il extrait son enveloppe du coffre. Ses attouchements pendant que je conduisais et mon insatisfaction depuis le show me rendent languide. Je me plonge dans le magazine féminin que j’ai eu la bonne idée d’apporter. J’ai le temps de le lire intégralement, courrier des lectrices inclus, mon beau jeune homme ne réapparaît que deux heures plus tard, portant une grosse valise, accompagné d’un autre homme. Je décide de lui faire la gueule pour m’avoir fait attendre. L’homme qui est avec lui s’approche en me voyant. Je sens son regard porcin me déshabiller intégralement. Il se colle contre la vitre et s’exclame : — Ben, Karim, ta meuf, elle me fait kiffer. Tu la sors d’où ? Je tire la langue au type pendant que l’ex de ma fille charge la valise dans mon coffre. Je démarre sèchement, il s’amuse de ma mauvaise humeur. — On va rentrer par la vallée de Chevreuse, je connais un coin super pour te faire ...
... plein de choses, puis on s’arrêtera pour déjeuner dans le bistrot d’un pote. Arrivés dans une forêt, nous empruntons un petit chemin de terre. Karim a, à nouveau, descendu le zip de mon short et me caresse à travers mon shorty. Je le laisse faire, je brûle pour lui… Nous débouchons sur une prairie avec un joli cours d’eau. À peine descendue, je me retrouve intégralement nue, il m’arrache presque mes vêtements. J’ai une folle envie qu’il me prenne. Il étend la couverture et m’intime de me mettre à quatre pattes. Il s’agenouille derrière moi et frotte son énorme gland contre ma vulve. Je suis toute mouillée, je l’implore de me pénétrer, c’est un supplice. Mais, sourd à mes prières, il continue de frotter à ma porte sans entrer ! Qui est-elle, celle qui a appris à ce jeune loubard cette retenue qui magnifie mon plaisir ? Appuyée sur mes coudes, je vois entre mes cuisses ses lourdes bourses s’agiter lascivement au rythme de ses frottis. Je me tends vers l’arrière pour mieux le sentir. Je sens ses mains s’agripper à mes hanches et enfin le poids de son membre à l’entrée de ma vulve. Il s’introduit désespérément lentement. Je sens mes parois intimes s’écarter au fur à mesure qu’il se glisse en moi. Lorsque son pubis vient buter sur le mien, il s’arrête de longues secondes. Je suis remplie de lui. Alors, avec beaucoup de douceur, il se retire lascivement. Je suis comme siphonnée, je sens le vide en moi. Il s’arrête à nouveau, juste au bord de mes lèvres. Puis il reprend sa poussée, ...