Pour ma fille
Datte: 01/06/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
couleurs,
fsoumise,
hdomine,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fsodo,
confession,
bourge,
... indolente et puissante. Je gémis, ce garçon me rend folle, il joue de son archet sur mon corps violon ; je gémis. Ses doigts s’enfoncent dans la peau de mes hanches. Son rythme s’accélère, mes seins ballottent au gré de ses poussées. Et soudain, à travers le rideau de mes cheveux qui tombent sur mon visage, j’aperçois, à une quinzaine de mètres, de l’autre côté de la rivière, un homme. Il nous regarde, pantalon sur les genoux. Les mouvements accélérés de son poignet trahissent clairement l’activité à laquelle il se livre. Je me cambre : — Arrête, Karim, il y a u type devant nous qui se caresse. Crochetant plus fermement mes hanches, mon compagnon accélère ses mouvements et me glisse : — Je l’ai vu. Laisse-le prendre son pied, Élodie. Montre-lui comme tu es belle quand tu prends ton pied. Je baisse la tête contre le plaid pour ne plus voir le pervers. Je sens le plaisir exploser dans mon ventre, je crie, je griffe la couverture. Un geyser vient frapper mes parois, puis un autre, et encore d’autres. Je suis comblée, dans tous les sens du mot. Lorsque, les cheveux hirsutes, j’ose relever la tête, je vois l’homme s’éloigner, une canne à pêche sur l’épaule. Mon amant enfonce le clou : — Tu jouis encore plus fort quand un autre homme te regarde ! J’ignore sa perfide remarque, et, le prenant par la main, l’emmène vers la rivière. Malgré la fraîcheur de l’eau, je m’accroupis et laisse l’onde purifier les restes de mes écarts. Visiblement, mon amant n‘aime pas l’eau. Mon intuition ...
... me dicte qu’il ne sait pas nager… J’arrive tant bien que mal à mouiller son bas-ventre et le frictionner de la main. Sans trop insister, pour ne pas le faire rebander… Nous nous rhabillons, et je constate avec horreur qu’il a déchiré mon shorty. J’y tenais, il était en authentiques dentelles de Calais. Me voilà sans rien sous mon short ! Nous faisons une dizaine de kilomètres avant d’arriver au kebab du pote de Karim ; un murmure salue mon entrée, je suis la seule femme ! Je sens des regards masculins appuyés sur mon short. Ont-ils deviné que j’étais nue dessous. Karim tombe dans les bras de son copain, ils se parlent en arabe, je n’y compris rien. Mais je devine que je suis l’objet de leurs échanges ! Nous nous installons et le pote de mon homme nous sert un excellent kebab. Je ne suis pas une habituée de ce type de nourriture, mais je dois reconnaître que le sien est très savoureux. À plusieurs reprises, je dois refuser le vin capiteux qu’il vient nous servir, car je dois conduire pour rentrer. Après ces agapes, nous retournons sur Paris. Surprise : au bout de quelques minutes, il s’endort. Je scrute son visage. Endormi, mon voyou a la gueule d’un ange adolescent… Notre relation prend une tournure très… conventionnelle. Il m’appelle une fois par semaine environ en fin d’après-midi pour m’annoncer sa visite. Évidemment, je m’arrange pour éviter qu’il tombe nez à nez avec Léa. Heureusement, celle-ci est la plupart du temps enfermée dans sa chambre. Je guette mon visiteur pour ...