1. Pour ma fille


    Datte: 01/06/2020, Catégories: fh, fplusag, couleurs, fsoumise, hdomine, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fsodo, confession, bourge,

    ... l’introduire en silence dans ma chambre que je verrouille. Une semaine après notre virée, Karim m’envoie un message. Je dois passer prendre un « colis » à Pantin. J’ai décidé d’arrêter de jouer les factrices pour ces livraisons trop dangereuses. Mais je crains sa réaction. Je l’avise donc de mon indisponibilité pour la course et lui demande de m’appeler. Près de quinze jours passent, il reste muet. Mais il me manque terriblement, je réalise en son absence combien je me suis attachée à lui et à ses caresses. Mon corps le réclame. Prenant mon courage à deux mains, je finis par l’appeler. La première tentative est vaine, il ne répond pas. À la seconde il décroche enfin : — Karim, j’aimerais bien qu’on se revoie.— Élo, nous avions passé un marché. Tu devais faire tout ce que je te demanderais pour que je laisse tomber ta fille…— Mais ce que tu exiges de moi est est trop dangereux, et les flics me connaissent maintenant, ils m’ont fichée depuis qu’ils nous ont contrôlés ensemble…— Bon, on verra plus tard, alors… répond-il en raccrochant sèchement. Je pressens que notre liaison s’est achevée là. Je ne pouvais décemment pas continuer à risquer mon honorabilité dans ce jeu périlleux de factrice de substances prohibées. J’imagine les titres des journaux :« La bourgeoise devient dealeuse pour les beaux yeux du petit ami de sa fille… ». Mais il me manque, ou plus exactement mon corps le réclame. Il a réveillé ma libido, alors que j’avais su la mettre en sourdine depuis mon divorce, à ...
    ... l’exception de la quinzaine que je passais chaque année début août chez une de mes copines sur la Côte d’Azur avec d’autres filles célibataires ou divorcées. Nous compensions sans vergogne la chasteté du reste de l’année ! Je me replonge dans ma morne vie antérieure, boulot et Léa. Cela me permet de la soutenir alors que le bac s’approche et que je sens enfin chez elle une volonté sinon de réussite, ou tout au moins d’effort. Quelque temps après, je reçois, à ma grande surprise, un message de Karim : — Rendez-vous chez toi samedi soir. Tu mets la nuisette transparente que tu m’avais montrée et tes talons hauts. Je lui réponds de ne pas venir avant minuit, pour être sûre que Léa soit couchée et de m’envoyer un message quand il sera en bas de chez moi, sans sonner. Ses exigences vestimentaires m’agacent et m’excitent à la fois. Le samedi soir venu, lorsque ma fille va se coucher, je file enfiler ma nuisette et mes escarpins. Je m’endors devant une mauvaise série télé, le portable à la main. Il est plus d’une heure quand il me sollicite. Je débloque la porte de l’immeuble et l’attends sur le palier. Et là, effarée, je vois Karim sortir de l’ascenseur avec un autre garçon ! Je reste scotchée, immobile. L’autre a les yeux exorbités en me regardant, je suis plus nue que nue ! Karim me pousse chez moi et me murmure à l’oreille : — C’est Omar, « mon frère ». Je les précède dans ma chambre que je ferme à clé. Je vais expliquer à ce goujat que je ne me chauffe pas de ce bois-là ! Au ...
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