1. Après un claquage


    Datte: 17/06/2017, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    Après un claquage ; Cela fait deux heures que nous jouons, et je commence à fatiguer, mes jambes ne répondent plus comme au début, mais je suis trop fier pour renoncer et pourtant je le devrais ; rapidement je suis dépassé et en voulant récupérer une balle, une violente douleur me déchire la cuisse ; mon adducteur vient de lâcher et c’est aidé par mon ami que je quitte le court de tennis. J’ai voulu tenir tête à mon copain, mais je manque d’entrainement et le résultat est là ; à 50 ans, j’aurais du être plus sérieux ; tant pis pour moi ; c’est alors que mon ami me propose de téléphoner à une de ses connaissances afin qu’il me soulage et c’est avec empressement que j’accepte. L’homme m’accueille chaleureusement une heure plus tard, et mon copain me laisse « entre bonnes mains ». C’est un gaillard d’un 1.85m, bien charpenté, souriant ; il me fait retirer mon short et me désignant un canapé, il me fait allonger à plat ventre et commence un massage avec de l’huile ; je ne sais si c’est l’huile ou la douceur de sa main, mais ma jambe se détend assez rapidement. Sa main glisse sur ma cuisse et remonte à la limite de ma fesse, car dit-il la contracture est assez haute ; je ne m’en plains pas car la douleur est bien moins forte, et quand il me demande si cela me fait du bien, c’est avec un soupir de bien être que j’acquiesce. Sa main remonte maintenant à la limite de mon entrejambe et à certain passage, ses doigts s’infiltrent sous mon slip, remontent sur ma fesse pour redescendre ...
    ... le long de mon sillon, effleurant parfois mes bourses ; je suis trop bien pour protester, bien au contraire je me laisse faire et devant le manque de réaction négative de ma part, ses geste sont de plus en plus appliqués , touchant à chaque passage mon petit trou pour finir à pleine main sur mes couilles ; le traitement commence à faire son effet, pas sur ma cuisse , mais sur mon sexe qui se tend d plus en plus et j’ai du mal à retenir mes gémissements de plaisir. « cela te fait du bien ? » la phrase est à double sens et ma réponse est claire « oh oui « ; pour être plus « à l’aise, », il me retire mon slip et cette fois sa main me caresse directement mes attributs, soulevant mes boules pour me caresser le sexe ,le dégageant de sous mon ventre pour mieux le branler ; mais rapidement son doigt revient sur mon anneau et l’enduisant de salive, il le fait vriller sur la corolle qui rapidement se distant . « tu as envie que je continue ? sans un mot, je hoche la tête, écartant un peu plus mes cuisses, lui ouvrant ainsi une totale vision sur ma raie, lui facilitant ainsi la pénétration de son doigt, bientôt suivi d’un deuxième ; huilant souvent l’ouverture, il me dilate facilement et quand trois doigts me dilatent le fion, je me cambre pour qu’il me pénètre un peu plus ; ma queue est tendue , mon ventre réclame une possession non connue depuis longtemps ; car si je suis marié, j’ai perdu ma virginité anale lors d’un séjour au Maroc, sodomie renouvelée plusieurs fois depuis mais cela ...
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