Après un claquage - Histoires de Sexe

Après un claquage

... fait plus d’un an qu’un homme ne m’a pas possédé. Sa main quitte mon fessier, et se plaçant face à mon visage, il baisse son pantalon, laissant apparaitre un sexe de très belle taille ; il approche sa queue de ma bouche et me dit suce moi ; ma langue vient au contact de son gland, puis descend le long de sa verge, et de ses boules, il appuie la pression sur ma bouche m’obligeant à le prendre en bouche ; elle est longue, épaisse, un gros gland turgescent ; me prenant la tété , il se branle entre mes lèvres, s’enfonçant jusqu’à ma glotte et ne se retirant que lorsque que j’ai un haut le cœur. Ma main lui pétrie les boules, les encerclant pour les tirer vers le bas, ce qui rapidement l’amène à la jouissance ; un flot de sperme se répand dans ma bouche, jets puissants, sucrés, si nombreux que sa semence s’écoule sur mes joues. Quand il se retire, je pense que la séance est finie ; mais il n’en a rien ; il bande toujours autant et m’enduisant la raie de son huile, il positionne son gland sur ma rosette ; me mettant à quatre pattes sur le canapé, il le frotte, puis doucement appuie pour ...

... s’enfoncer ; mon conduit s’ouvre, puis d’une plus forte poussée, il me possède totalement. Commence alors un lent va et vient, avant qu’il m’accélère, me baisant de plus en plus fort. Sa tige coulisse en moi, m’amenant à une jouissance oubliée, , il sent que je suis à lui, et il en profite, son basin me percute à chaque poussée et sa queue vient me pilonne la prostate ; sous s coups de butoirs , j’explose, répandant ma jute sans même m’être masturber ; ayant déjà jouit, sa saillie dura un long moment, se retirant parfois complètement pour me percuter ensuite violement ; mon anneau distendu l’accueillait alors avec bonheur ; me faire sodomiser par cet homme si puissant m’a amener plusieurs jouissances. J’attendais avec l’envie le moment où il allait me remplir de sperme et quand, se cambrant, accroché à mes hanches, Ss jets sont venus frapper ma paroi, je n’ai pu retenir un long cri de jouissance. Quand je suis reparti, ma cuisse me faisait aussi mal, mais ce n’était pas le seul endroit ; mais c’est moi qui lui ai sollicité une autre séance, ce qu’il a accepté pour le lendemain soir.