Suite (hucow) : La déchéance d'une étudiante
Datte: 02/10/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Inceste / Tabou
... dire, tu ne diras bientôt plus rien, lâcha-t-il en rigolant pendant qu’il m’attachait au mur extérieur.Les deux hommes entrèrent alors dans la pièce en me laissant totalement seule. Je pleurais à chaudes larmes. Je devais être dans un état pitoyable. J’avais peur de ce qui allait se passer. Je voulais crier au secours mais personne ne m’aurait entendu, la ferme était si isolée ! De l’autre côté de la cour, deux hommes sont passés. Ils étaient habillés en salopette de travail. Il s’agissait certainement des fermiers engagés pour s’occuper des bêtes. Ils me dévisagèrent attentivement. J’étais gênée mais j’espérais qu’ils allaient prévenir la police. Au lieu de ça, ils lâchèrent quelques sifflements obscènes avant de continuer leur route comme si de rien n’était.Enfin, les deux hommes réapparurent. Après m’avoir adressé une fessée, le camionneur regagna son véhicule en me promettant que l’on se reverrait très bientôt. Je n’en étais pas spécialement ravie mais je ne savais pas ce qui m’attendait…- Bienvenue dans ta nouvelle demeure ma belle ! Tu verras, tu vas vite t’adapter. A partir de maintenant, je suis ton nouveau propriétaire ! J’espère que tu me rendras fier de toi. Tu m’appelleras Maître. Tous les autres hommes ou femmes s’appellent Monsieur ou Madame. Compris ? - Oui, dis-je les larmes aux yeux.Je reçus une gifle en guise de réponse.- Oui qui, pouffiasse ?- Oui Maître.- C’est mieux. Tu apprends vite. Allons te préparer à présent.Mon nouveau détenteur me mena dans une ...
... salle blanche. L’éclairage y était agressif et il n’y avait là aucune décoration. Juste une table en inox sur laquelle il me lia et du matériel quasi chirurgical.- Je te laisse avec le docteur Marius, ne t’inquiète pas, il est de très bonne compagnie avec les chiennes comme toi. Marius arriva. Cet homme quinquagénaire avait bonne allure. Les cheveux poivre et sel, rasé de près, bien habillé, il aurait pu être mon médecin de famille.- Bonjour ma petite. Comment vas-tu ? Je suppose que tu es morte de peur. En réalité, je te comprends. J’ai déjà dit à Monsieur Charles qu’il ne fallait pas être si dure avec les nouvelles arrivantes mais peu importe, cela vous permet de vous habituer plus vite. J’aime que la préparation se fasse dans le silence, m’expliqua-t-il avant de me mettre un bâillon dans la bouche. Voilà, bonne fille, me félicita le docteur.Il alluma la radio, me déshabilla puis commença à me coiffer : deux petites couettes sur les côtés, comme on fait aux petits enfants. Il semblait prendre son pied à me modifier comme cela. Moi, j’étais terrorisée et ne savait pas quoi faire. Je me sentais humiliée : de la bave coulait le long de mon visage à cause de cet objet qu’il m’avait enfoncé entre les dents. Je m’attendais au pire si je me rebellais.Après avoir désinfecté mon nez, il se munit d’une grande pince et d’une aiguille. Il me perça alors, la douleur était vive mais il ne s’en préoccupait pas et plaça un anneau décoré d’une cloche. Il fit de même à mon oreille et me décora ...