1. Suite (hucow) : La déchéance d'une étudiante


    Datte: 02/10/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme Inceste / Tabou

    ... alors d’une plaque jaune servant à mon identification.- Bonjour Azalée ! Monsieur Charles t’a choisi un magnifique prénom, il doit déjà beaucoup t’apprécier ! En même temps, avec les mamelles que tu as, je le comprends. Tu portes le numéro 3277.Il me mit alors des genouillères blanches tachetées de noir et des sabots qu’il ferma à l’aide d’un cadenas intégré. A l’intérieur, mes poings étaient serrés sur une barre et je fus agréablement surprise de leur confortabilité. Il s’est alors penché sur mes seins, posant un lien sur chacun. La base était maintenant plus étroite que le reste, c’était douloureux et humiliant, mes larmes coulèrent de plus belle. Le médecin ne s’en préoccupait pas et enfonça un plug muni d’une queue de vache dans mon cul déjà béant par la sodomie de mon premier bourreau. Il prépara pendant ce temps le fer et quelques seringues. J’avais de plus en plus peur, j’essayais de me débattre et je reçus pour toutes réponses un coup de taser.- Je n’aime pas faire de mal inutilement mais si tu bouges comme cela, tu vas me faire rater ta préparation. Et je suis sûre que Monsieur Charles en serait très déçu. Ce n’est pas ce que tu veux, n’est-ce pas Azalée ?Entendre ce prénom me révoltait mais je n’avais plus le courage de me débattre. Je fus ainsi marquée à deux reprises : « Vache laitière Azalée » au-dessus de la poitrine et « Propriété privée » sur la fesse gauche. La douleur était si horrible que lors du deuxième marquage, je m’évanouis.Lorsque je me réveillai ...
    ... enfin, je dû faire un effort surhumain pour me rappeler ce qu’il m’était arrivé. Je regardais autour de moi : j’étais dans un box. La paille recouvrait le sol. Les grilles n’étaient pas très hautes mais les sabots m’empêchaient de me mettre debout. A travers ces dernières, je réussis à voir une vraie vache. L’autre côté s’avérait être un mur. Dans le coin de ma nouvelle demeure, il y avait un abreuvoir collé au mur ainsi qu’une mangeoire, remplie de flocon d’avoine. J’avais tellement faim ! Je me suis alors ruée sur ma gamelle et ai dévoré les céréales comme une bête. J’avais aussi envie d’aller à la toilette mais il n’y avait aucune présence de toilette. Ne sachant plus me retenir, je me suis déplacée à quatre patte jusqu’à un coin du box avant de pisser comme la vache que j’étais devenue sur la paille.En me déplaçant, j’avais remarqué que mes seins avaient fameusement grossis : ils étaient énormes et d’autant plus douloureux, j’avais envie de les masser mais il m’était impossible de le faire.Je vis Monsieur Charles apparaître devant moi.- Bonjour Azalée ! Comment vas-tu ma petite laitière ?Je voulus répondre mais tout ce qu’il sortait de ma bouche, c’étaient des sons graves et rauques s’apparentant à des meuglements.- Aaah, tu n’avais pas encore découvert ce changement, se contenta de me lancer mon détenteur. Tes cordes vocales ont été sectionnées. Tu parlais beaucoup trop à mon goût et mon ami était d’accord avec moi. Tu es beaucoup mieux comme ça.Je recommençais alors à ...