1. Le club des nymphes - tome II (26)


    Datte: 06/06/2020, Catégories: Hétéro

    ... dans mon cul en me tenant fermement par les hanches. Je me cambre encore et lâche un petit geignement. Et dire qu’à mon arrivée à l’école je ne voulais pas entendre parler de sodomie… J’ai bien changé d’avis maintenant. Le voilà qui me lime et me malmène le cul. Douleur et plaisir m’embrasent. David me pilonne à fond. Son pubis claque violemment contre mon cul à chaque coup de reins. Ses mains jouent maintenant avec mes seins, me les pinçant et les pressant entre ses doigts. Le salaud s’en donne à cœur joie. Hum, j’adore être traitée ainsi, être à la merci du mâle qui me prend. N’avoir pas d’autre choix que le laisser me rudoyer l’anus. Laisser sa virilité régner sur mon corps. Mon seul regret, c’est que Thomas n’est jamais passé par là. Nous avons fait tous les deux l’amour, mais j’aurais tant voulu qu’il me prenne le cul aussi… Peut-être qu’un jour, si certaines conditions particulières nous réunissent de nouveau… « Non, je ne dois plus penser à ça. J’en ai fini de ces désirs. Il est temps de passer à autre chose. Concentrons-nous sur cette bite qui me ramone. » Merde, ma tête est maintenant envahie d’images où c’est Thomas qui m’encule. Je mouille atrocement comme à chaque fois que l’idée m’a traversé la tête. « Tant pis, rien qu’une dernière fois, laissons donc mon imagination vagabonder là où elle veut. Il sera toujours temps d’oublier Thomas un autre jour. » Mes doigts glissent jusqu’à mon intimité tandis que le mâle derrière moi se donne à fond pour me faire râler ...
    ... de plaisir. « Peut-être que si j’avais maintenu mon défi, si papa n’avait pas eu d’accident, Thomas m’aurait cédé. Peut-être que ce serait lui qui me défoncerait en ce moment même. Il aurait fait de moi son esclave sexuelle jusqu’à la fin de nos études. Il ne serait pas retourné avec Louise. Oui, je sais, ce n’est qu’un fantasme débile, mais c’est tellement excitant. J’aurais tant voulu ! » J’imagine donc un monde où je suis à la merci de mon frère tout en me tripotant la chatte. Je me concentre sur les coups de queue avec l’image d’un Thomas déchaîné en tête. Oh oui, ce serait tellement le pied ! J’encourage David en poussant des cris de plaisir. Je le sens faiblir derrière moi, la fatigue le gagne. J’accompagne les mouvements de cette bite qui me terrasse le cul pour imposer mon rythme. Je le force à accélérer la cadence malgré tout. David est poussé à bout. De violents jets de sperme sont éjaculés dans mon fondement tandis qu’un râle masculin s’échappe de sa gorge. David se libère et se jette sur une chaise. N’ayant pas encore atteint l’orgasme mais n’étant pas loin, je continue de me masturber, toujours avec l’image de Thomas en tête. C’est dans un cri sauvage que j’atteins la jouissance. Il me faut plusieurs minutes pour reprendre mon souffle et redescendre. Mon frère n’a toujours pas quitté ma tête. Je donnerais cher pour retourner quelques années en arrière, lorsque Thomas n’avait d’yeux que pour moi, et réécrire notre histoire. Si j’avais su à cette époque ce que je ...
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