1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°857)


    Datte: 06/06/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... cul que sur ma tête plaquée au sol, tournée vers Lui. Monsieur le Marquis était resté totalement silencieux et il croisait les bras, Sa tête relevée, il m’observait avec sévérité silencieusement. Je ne mettais pas risquer à le regarder de nouveau, craignant qu’une nouvelle sanction ne s’ajoute à la liste, mais je sentais son regard dominant bleu d’acier sur moi. Il me laissa dans cette situation de longues minutes toujours sans dire un seul mot. Cette position que j’affectionnais tant, qui me permettais de me recentrer sur moi-même, de m’apaiser, car là je me sentais moi, je me sentais chienne et à ma place, soumise, n’ayant plus qu’une seule pensée capable de transiter dans mon cerveau : satisfaire coûte que coûte le Maître. Oublié le monde vanille, oublié le possible divorce, tout était oublié. Ne restait que Lui et moi ! Et les tensions s’évacuèrent. Cette position de prosternation m’apaisait et me redonnait comme par magie une certaine sérénité salvatrice. - À genoux Ma chienne ! Tu vas prendre ton téléphone, tu vas aller dans ta salle de bain comme une chienne ! Là tu lèveras la patte, et tu pisseras comme la chienne que tu es ! Tu y mettras le temps qu’il faudra, mais tu n’as pas le droit de rebaisser cette papatte, tant que tu n’auras pas uriné devant moi, en bonne chienne femelle ! Exécution ! J’obéis instantanément. Une fois en position dans la salle de bain, je restais plusieurs très longues minutes la jambe en l’air en arrière attendant que l’envie arrive. ...
    ... J’essayais de penser à la pluie, au bruit d’une cascade, à l’océan…. Enfin après une éternité, je réussis à faire une petite flaque au sol. - À défaut d’avoir Ma si précieuse douche dorée, tu vas te rouler dans ta pisse, comme une chienne, sur le dos, roulant de gauche à droite, que tu sois bien souillée, la chienne ! Avec une grimace de répugnance, je m’exécutais pourtant sans broncher. Je me sentais humiliée, rabaissée, souillée et pourtant je devais le reconnaître, paradoxalement terriblement excitée. - Bien et maintenant nettoie le sol avec ta langue. Je ne veux plus une trace de ton urine au sol. Ce n’est pas parce que tu n’es qu’une souillon, que tu ne dois pas nettoyer ! Je passais une bonne vingtaine de minutes, avant que le Maître ne soit satisfait, à lécher le carrelage de ma salle de bain. Il me faisait sentir que j’étais encore moins qu’une chienne ! Je venais d’être réduite à l’état de serpillère vivante. J’étais pourtant dans une sorte de transe. Ma volonté à satisfaire le Maître par-dessus toute chose, me transcendait. Ma conscience vanille avait quitté mon corps pour ne laisser la place qu’à la chienne soumise de Monsieur le Marquis d’Evans, Sa chienne soumise MDE ! Mon humiliation n’était rien par rapport à la joie intense de Le servir, de Lui obéir, de Le satisfaire ! L’excitation imprimait à mon bassin, malgré moi des mouvements de chienne en chaleur qui voulait se faire prendre ! - Bien Ma chienne ! Maintenant tu sais ce que tu es ! Et je suis sûr que tu n’oseras ...
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