La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°857)
Datte: 06/06/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... plus te déplacer sur tes deux pieds en Ma présence, sauf contre ordre ! Je crois voir que tu es en chaleur, alors va chercher ton gode, je veux te voir te labourer la chatte. Mais avant, ventouse ton plug au sol et empale-toi dessus. Quand tu voudras jouir, que tu ne pourras plus tenir, tu devras lever la main, attendre trois secondes, et faire cette séquence trois fois de suite. Je comprendrai que tu me supplies de t’accorder la jouissance, et alors je verrai si je te l’accorde ou pas… Je m’exécutais avec célérité. J’avais la chatte bouillonnante, ma cyprine coulait sur mes cuisses. Cette fois-ci, je partis bien en quadrupédie. Je m’enfonçais le plug dans mes entrailles, restant quelques secondes bien accroupie, afin qu’il se loge aussi profondément que possible dans mon cul. Puis j’enfonçais le gode sans aucune difficulté, tellement j’étais trempée ! Je restais quelques instants ainsi, prise des deux côtés, et déjà le plaisir arrivait. Sous les mots crus, les « insultes » terriblement excitantes du Maître, je me godais férocement, frénétiquement, puissamment, jusqu’à n’en plus pouvoir et reproduisit la séquence de gestes exigés par le Châtelain pour le supplier de jouir. Il me fixa d’un regard carnassier, me laissant quelques longues secondes, les yeux suppliants, la jouissance au bord des lèvres. Je priais pour qu’Il arrête mon calvaire en me donnant le droit de laisser éclater mon orgasme. - Non Ma chienne ! Stop ! Enlève ton gode et ton plug et pose les devant toi ! ...
... J’ai dit ! Je ne pus réprimer mes larmes, tellement il était dur de s’arrêter. Mais je cessais tout mouvement et la mort dans l’âme, j’accomplissais les Exigences du Maître. J’étais essoufflée, hyper sensible de la chatte, je suis sûre qu’un simple effleurement m’aurait fait jouir. - Tu ne croyais tout de même pas que j’allais accéder à ta supplication, Chienne ? Position standard de prosternation ! (Dès que je me fus prosternée, il reprit toujours glacial) Tu n’avais quand même pas oublié que tu méritais une sanction pour avoir relevé la tête et m’avoir regardé ? Reste ainsi le temps que je l’exigerai ! Et les minutes s’écoulèrent. J’entendais le Maître taper sur son clavier. Et je me sentais bien, là, à Ses nobles pieds. Je recouvrais peu à peu une respiration normale, le feu qui me dévorait le bas ventre s’atténuait jusqu’à quasiment s’éteindre. Quelques braises montraient mon excitation à n’être que ce que j’étais, simplement. Toujours immobile, et au bout d’un moment, j’entendis : - Bien, cela fait exactement trente minutes que tu es ainsi Ma chienne. (Sa voix s’était radoucie) Je veux que tu installes ta panière et que tu te couches dedans. Tu vois, reprit-Il dès que je fus installée, tu as besoin de Moi pour te soumettre, pour te sentir bien, pour te sentir être ! Tu paniquais, tu as fait des erreurs, tu as été sanctionnée. Et maintenant, tu es à nouveau calme et tranquille ! (Il y eut un silence) Tu es autorisée à me regarder ! (Et après un sourire dès que mon regard se ...