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Réconfort et vieilles dentelles V. La pharmacienne. (1)
Datte: 08/06/2020, Catégories: Hétéro
... des émules. Je m’approchai lentement et me plaçai derrière elle, à moins de deux centimètres de son corps. Je posai doucement mes mains sur sa taille, et lui dis, ma bouche tout près de son cou, juste derrière son oreille : "- Eh bien, ma petite pharmacienne, vous avez besoin d’être soignée…? — Je… je… — Vous avez donc envie d’éprouver vous-même mon "traitement" miraculeux…? — Il paraît qu’il marche bien… — Hum, vous savez que je vous tire mon chapeau : avoir le courage de venir jusqu’ici pour m’en parler… et le réclamer…" Ma petite pharmacienne (je l’appelle ainsi non pas parce qu’elle était si petite que ça - sur ses talons elle était un tout petit peu plus petite que moi - mais surtout parce qu’elle était menue, et donnait une impression de fragilité, avec sa petite voix et ses manières calmes et douces) ne bougeait pas ; ses yeux bleu-vert tirant sur le gris regardaient droit devant elle. Ses cheveux fins et blonds étaient assez courts. Je pouvais sentir son eau de toilette, fleurie et délicieuse. Mes mains sur sa taille m’apprenaient depuis qu’ils s’y étaient placées que c’était une fausse mince, ou du moins, on pouvait supposer que cette quinquagénaire (fin de cinquantaine) s’était légèrement empâtée avec les années. " - Puisqu’il est en ainsi, ma petite pharmacienne, posez le bout de vos doigts sur la table et faites en sorte qu’ils y restent. Vous avez voulu que je vous soigne, je vais vous soigner, moi !"