1. Une généreuse maman (5)


    Datte: 11/06/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... pouvais apercevoir les poils de sa chatte, derrière sa culotte encore imprégnée de chlore. C’était touffu et mystérieux là-dedans ; ça me donnait envie. J’ai saisi l’opportunité ; j’ai approché mon visage et j’ai reniflé les effluves que sa chatte exhalait. J’ai léché, timidement, du bout de la langue, le renflement de ses lèvres charnues imprimé sur l’étoffe en soie. Papa ne pouvait pas deviner ce que je faisais, même en se retournant : je n’avais pratiquement pas bougé. J’étais sur le point de m’enhardir, d’aller plus loin, quand maman m’a violemment tiré en arrière en agrippant mes cheveux. — Victor mon chéri, sois gentil maintenant, retourne de ton côté… Tu me donnes chaud, tu sais ! Je l’ai dévisagée, ahuri, avec des yeux bovins et les joues en feu, alors elle m’a fait un petit clin d’œil complice et s’est mise à regarder le paysage la joue collée au carreau. Devant, papa et son nouveau copain s’étaient finalement entendus sur un sujet, et ils discutaient à bâtons rompus. Nous avons laissé notre passager où il le souhaitait et maman a changé de place, elle est montée devant sur ordre de mon père. Comme il était tard quand nous sommes arrivés, nous avons regagné nos chambres immédiatement. J’ai écouté de la musique au casque, pianoté sur mon ordinateur, essayé de lire… rien à faire. Deux heures après, je n’avais toujours pas sommeil. Je n’arrêtais pas de penser à maman. Je l’avais goûtée dans la voiture. Enfin, pas vraiment goûtée ; disons que j’avais picoré autour, de ...
    ... quoi m’ouvrir l’appétit. Elle me rendait de plus en plus fou. N’y tenant plus, je suis sorti de ma chambre et me suis dirigé vers celle de mes parents - à l’écart de la mienne. J’ai collé mon oreille à la porte ; mon père dormait, je l’entendais ronfler. Je me suis décidé et je suis rentré. A pas de loup, je me suis dirigé vers maman, qui dormait bordée jusqu’aux oreilles. Je ne voyais presque rien, alors je suis ressorti pour allumer l’applique dans la salle de bain, juste en face de leur chambre. En jouant de manière adéquate avec les portes, l’effet était saisissant ; le côté du lit où maman dormait était éclairé juste ce qu’il fallait : assez pour que je vois ce que j’étais venu chercher, mais insuffisant pour la réveiller. Je l’ai regardée, et comme les ronflements réguliers de mon père me confirmaient qu’il dormait à poings fermés, j’ai lentement rabattu le drap sur le corps de ma mère. Elle portait une nuisette que je connaissais, celle à larges mailles ; tout un programme ! Elle dormait sur le dos, les jambes légèrement écartées, et je pouvais enfin voir sa chatte. Elle avait la motte poilue mais bien entretenue, la touffe épilée en un triangle parfait. Je me suis agenouillé et j’ai posé ma main sur son ventre, j’ai palpé sa chair tiède, un peu molle ; quel supplice j’endurais ! Tout s’est passé très vite. Je me suis penché et j’ai enfoncé ma langue dans la fente. C’était chaud, âcre, un peu poivré, délicieusement gluant. Papa ronflait toujours. Tout à coup, maman s’est ...