1. Une généreuse maman (5)


    Datte: 11/06/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... redressée comme un ressort cassé. Il y avait de la panique dans ses yeux. Elle a voulu me repousser, mais sa vulve avait bon gout, ma bouche y était fermement accrochée, comme une palourde à son rocher. Elle a réussi à descendre du lit sans réveiller mon père, et, une fois debout, elle m’a tendu la main. Son geste m’a tellement surpris que je lui ai spontanément donné la mienne. Elle m’a entrainé, à petits pas légers, hors de sa chambre. Nous sommes descendus dans la cuisine, et soudain, sans prévenir, elle s’est retournée et m’a donné une gifle magistrale. Elle fulminait, je ne l’avais jamais autant vue en colère. — Qu’est-ce qui t’a pris, Victor ? A quoi tu joues ? Pour qui tu me prends ? J’étais si choqué par son geste que j’ai éclaté en sanglots. Elle ne m’avait jamais frappé avant, c’était la première fois qu’elle levait la main sur moi. Je me sentais comme un petit garçon qui découvre que le monde n’est finalement pas tout à fait tel qu’il l’imaginait. Elle m’a regardé bouche-bée. — Et si ton père s’était réveillé… tu y as pensé ? Je sais qu’à ton âge vous avez, vous les garçons, des pulsions incontrôlables… mais ce n’est pas une raison ! Je ne te néglige pas, non… Je suis même très gentille avec toi, tu ne trouves pas ? Elle comprenais qu’elle m’avait blessé, que j’avais trouvé sa réaction disproportionnée, alors elle essayait de se rattraper avec ses allusions à peine déguisées qui me donnaient des frissons. Je n’avais rien à répondre bien sûr, elle avait raison, ...
    ... alors je l’ai regardée et j’ai pensé qu’elle avait l’air encore plus nue, dans sa nuisette affriolante qui ne dissimulait rien de ses formes voluptueuses, que si elle avait été vraiment à poil. — Je suis désolé maman, mais je n’arrête pas de penser à toi… tout le temps… C’est plus fort que moi ! Elle s’est jetée dans mes bras. — Mon pauvre petit chéri… Je sais que c’est dur pour toi…Allez viens, suis-moi… Elle m’a repris par la main et je lui ai emboité le pas ; je me donnais l’impression d’être un gentil toutou capable de la suivre jusqu’au bout du monde. Je pensais qu’elle allait retourner dans sa chambre et me planter là, mais elle s’est dirigée vers la mienne. Elle s’est assise sur mon lit, a baissé mon pantalon de pyjama. Elle m’a pris dans sa bouche, m’a sucé un peu. Elle a retiré sa nuisette, s’est allongée toute nue sur mon lit, m’a attiré sur elle. Elle m’a guidé d’une main en écartant les cuisses, et je me suis enfoncé, en suffocant, dans une matière chaude et visqueuse. Elle remuait sous moi, m’engloutissait. — Oh maman ! Je suis en train de te… je te… — Oui mon chéri, baise-moi… Baise ta maman, c’est ce que tu attends... C’était tellement bon, tellement puissant que j’ai explosé presque immédiatement. yuyjjdm Je ne me suis pas retiré juste après, j’ai attendu de débander pour sortir. Je suis resté sur elle, en elle, à lui faire des petits baisers dans les cheveux, dans le cou, le corps parcouru de frissons à retardement. — Je vais aller me coucher maintenant, mon ...