Maryse, naissance de la perversion (1)
Datte: 12/06/2020,
Catégories:
fh,
extracon,
inconnu,
fsoumise,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
photofilm,
facial,
nopéné,
bourge,
attirautr,
... peut pas partir sans s’être enregistrée, cela ne serait pas très honnête. Elle décide de partir à sa recherche. Elle se dirige vers les piles de voitures entassées et ne tarde pas à entendre un bruit. Une sorte d’écoulement. Elle regarde à travers les portières d’une voiture écrasée par les cinq ou six autres qui sont au-dessus et se fige sur place. Elle s’arrête de respirer. Le sang lui bat les tempes. Elle a l’impression que son cœur bat tellement fort qu’on peut l’entendre à cent mètres à la ronde. Elle voit de l’autre côté M. Francis en train d’uriner sur la voiture. En fait, elle ne voit que le sexe mou de l’homme, duquel s’échappe un gros jet d’urine. Il a retroussé la peau de son gland et un fois qu’il a fini d’uriner, il la fait aller et venir afin de se débarrasser des gouttes qui restent. Il remballe son sexe dans son bleu de travail et se dirige vers la benne. Maryse panique. Elle ne peut lui laisser deviner qu’elle l’a vu, mais comment faire pour retourner à sa voiture sans éveiller ses soupçons ? Le temps qu’elle réfléchisse à tout ça, il est trop tard. — Alors, ça te plaît de me mater en train de pisser ? Elle est tétanisée. Elle se relève brusquement. Il la regarde avec son sourire en coin. Il parait encore plus pervers que les autres jours. Il regarde ses seins. Il caresse sa barbe naissante de sa main droite tandis que l’autre est sur sa hanche. — Alors, ça t’a plu ? Elle réalise qu’il la tutoie. — Je suis désolée, je ne voulais pas… je venais me faire ...
... enregistrer…— Ouais, je vais t’enregistrer, t’en fais pas. Elle est toujours tétanisée. — Bon, je vais fermer, rejoignez-moi à ma caravane derrière ce tas de bagnoles là. J’ai laissé ma pointeuse là-bas.— Euh oui, euh mais… Il ne lui laisse pas le temps de continuer qu’il s’en va fermer la grille de la déchèterie. Elle approche sa voiture de la caravane. Elle ne savait pas qu’il logeait ici. Et toujours cette boule dans l’estomac et sa respiration qu’elle ne contrôle plus. Un bref regard dans son rétroviseur lui révèle le regard d’une proie affolée. — Venez ! Elle n’a pas le choix, elle descend de voiture. Il ouvre la porte de sa caravane et lui indique de monter. Elle sent son regard sur elle. Elle sait qu’il regarde ses fesses et ses jambes. Elle reste un instant figée quand elle voit les posters aux murs de la caravane. Là des femmes nues, exhibant leurs seins énormes et leur sexe rasé dans des positions impudiques, ici des femmes habillées de latex et un autre poster montrant une femme à la chevelure brune la bouche grande ouverte et tenant un sexe énorme qui lui gicle sur le visage une grosse quantité de sperme. — Rentrez, soyez pas intimidée. Il referme la porte derrière lui. — Alors Maryse, tu m’as pas répondu ! Ça t’a plu de me mater ? Moi, j’aime bien te mater et je vois que tu as fait des efforts aujourd’hui. Ça te plaît de m’exciter, je le sais. Et je suis sûr que tu es toute excitée, toi aussi. Maryse est tétanisée, elle est sous l’emprise de cet homme commun, vulgaire, ...