La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°920)
Datte: 12/06/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Marion au Château – (suite de l'épisode N°913) – Je comprenais que si je voulais de nouveau avoir l’honneur qu’Il s’occupe de moi, je devais Le rendre fier durant cette soirée, ne pas désobéir, et accepter tout ce qui pourrait être exigé de moi, peu importe ce que ce serait et de qui l’exigence viendrait… Je n’étais qu’une salope de chienne soumise MDE et si heureuse de l’être… Marie avait préparé pour la suite des croustillants de saumon frais au chou vert. Là encore, la talentueuse cuisinière était mécontente car si elle voulait que le plat soit le meilleur possible, elle devait les faire dorer au dernier moment, car le saumon devait rester à peine cuit. Elle ne se gêna pas pour m’accuser de trop distraire les Invités et de les empêcher de manger, arguant qu’une chienne serveuse devait se faire aussi discrète que possible ! Malheureusement, ou pas d’ailleurs, on ne me laissa que très peu de temps sans s’intéresser à nouveau à ma petite personne… Pendant que je servais, j’étais régulièrement arrêtée le temps d’une claque sur le cul ou les seins, un petit coup de tripotage d’un côté, de malaxage de l’autre, un doigtage furtif… les Invités avaient légèrement changé de places, et tous ces messieurs, sauf le Maître, s’étaient installés de chaque côté du milieu de la grande table. Maîtres César et Wallance avaient écarté leurs chaises de manière à ce que je puisse aisément me tenir entre elles, et le plateau de la table avait été débarrassé, en son milieu dans le sens de la ...
... largeur. Une fois toutes les assiettes servies, on m’ordonna de monter sur la table et de m’y allonger, faisant ainsi office, en quelque sorte, de chemin de table. Monsieur le Comte d’Orlan posa un morceau de croustillants sur le téton le plus proche de lui… Il en prit également un en bouche, et posa ses lèvres sur les miennes afin de me le donner à manger, puis se jeta sur mon sein pour gober le premier morceau en prenant soin de me lécher et de mordiller mon téton dressé au passage. Tout en discutant et en tenant d’une main un verre, Maitre Evrest me branlait nonchalamment mon clito, limite sans y faire attention, me doigtant parfois la chatte au passage avec une certaine désinvolture… Trop de mains s’occupaient de moi en même temps pour que je puisse avoir le temps d’enregistrer qui faisait quoi. On continuait à me mettre de la nourriture sur les seins pour manger à même ma peau, une main me faisait frissonner en faisant fondre des glaçons en les faisant glisser sur ma peau, et en les abandonnant au creux de ma gorge. Ma chatte subit la même chose que mes seins, et les langues qui lapaient la nourriture ne se privaient pas pour me titiller le clito, le lécher et le mordiller. Parfois, une fourchette ou une bouche venait me donner la becquée… Ma chatte se faisait littéralement dévorée, et je commençais déjà à sentir des vagues de plaisir monter et qui cherchaient à se libérer. Une bouche me léchait et m’aspirait et deux mains me doigtaient. Une main vint me plaquer la joue ...