La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°920)
Datte: 12/06/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... droite contre le plateau de la table, deux mains me torturaient les seins, les empoignants, les étirant autant que possible, tout en vrillant mes tétons. Et donc lorsque ce n’étaient pas les seins entiers, c’étaient juste mes tétons utilisés à se faire martyriser. Et pendant ce temps, une main plus large se mit à me baiser furieusement la chatte. J’avais du mal à retrouver mon souffle. Et pourtant je comptais sur le contrôle de ma respiration pour ne pas succomber aux orgasmes qui faisaient tous ce qu’ils pouvaient pour se déchainer en mon corps surexcité de tant de délicieux traitements… La main qui me tenait le visage descendit sur mon cou et commença à serrer, pas assez pour m’étouffer gravement, c’était juste une étreinte mesurée et assez placée pour décupler mes sensations. Un bâton électrique s’approcha de mes tétons et s’amusait à me provoquer des mouvements désordonnés, et toujours sans le moindre son. Puis toutes les mains se retirèrent et on m’aspergea d’eau glacée qu’on étala sur tout mon corps. Maître Evrest m’écarta largement les cuisses pour que mon sexe s’ouvre au maximum, et se mit à claquer très lentement mais fortement ma chatte, me faisant sursauter, me monter les larmes aux yeux sous la douleur et l’ivresse d’excitation. Maîtresse Cravache commença à m’attacher des pinces, reliées entre elles par un fil, tandis que La Comtesse d’Orlan continuait à m’électriser avec son bâton. Maîtresse Épine d’Or s’en saisit également d’un, et je ne pouvais m’empêcher de ...
... gigoter dans tous les sens, me redressant même en position assise tellement les douleurs devenaient fortes mais paradoxalement tellement excitantes. Je ne criais toujours pas, mais les larmes commençaient à ruisseler sur mon visage. Mais mes yeux n’étaient pas la seule partie de mon corps devenue mouillée, ma chatte était trempée. Ce mélange de douleur, de doigtage, toutes ces stimulations, m’excitaient énormément. Une main vint me bâillonner la bouche, ce qui me fit penser que j’allais sûrement avoir très mal. Effectivement, les deux bâtons électriques se dirigèrent vers mon sexe. Je les recevais, une fois sur l’intérieur d’une cuisse, une fois sur mon clito, d’autres fois sur mes lèvres. La large main qui m’empêchait de crier m’étouffait presque. Je ne savais plus où j’étais, je savais juste que je n’existais plus que pour le plaisir pervers de cette vingtaine de Maîtres et Maîtresses, qui s’en donnaient à cœur joie… J’en étais à une dizaine de pinces attachées entre le haut de chaque sein jusqu’au bas de mon ventre. Ma chatte se faisait torturer à l’électricité, m’obligeant impulsivement à refermer mes jambes et à les serrer pour tenter de faire stopper le ‘‘délicieux’’ supplice. Mon bassin s’était tourné. J’étais toujours sur le dos, mais mes jambes s’étaient tournées sur le côté, dévoilant mon cul. On continuait à me poser des pinces, on se mit à me claquer les fesses. Je me faisais embrasser à pleine bouche, ou j’avais des doigts, voire des mains à sucer, lécher… On me ...