L'invitation - Histoires de Sexe

L'invitation

... à Estelle : — Tu peux quitter cette chambre ou rester mais, si tu choisis de rester, tu es à nous !— Vous me mettriez à la porte ?— Oui, sans la moindre hésitation… N’est-ce pas les filles ?— Oui…— C’est pas juste !— Alors, que décides-tu ?— Je… Mais…— Mais quoi ?— Je serais à vous trois ?— Oui.— En même temps ?— Oui.— Vous ne me ferez pas de mal ?— Bien au contraire !— Vous me le promettez ?— Oui.— Alors, je reste, marmonne-t-elle après un moment de réflexion.— À toi l’honneur, Jeanne ! déclare cérémonieusement Carole, sous le regard inquiet d’Estelle. Hélène tenant fermement Estelle par les bras, Carole lui écarte les cuisses pour mieux révéler son sexe offert et ses lèvres luisantes. Jeanne s’approche alors lentement, regarde Estelle droit dans les yeux et, sur un ton masquant mal son excitation, lui dit : — Quelle jolie chatte ! Tu mouilles ma belle ? Je vais y mettre un doigt… Non, deux… Pourquoi pas trois ? Hum, plutôt la main, c’est encore mieux ! Que préfères-tu ?— Non, s’il te plaît… pardonne-moi pour tout à l’heure ! Sois douce, je t’en supplie, dit-elle plus pour donner le change que par crainte.— Tu veux arrêter ?— Non… souffle-t-elle. Continuez… Déjà les doigts de Jeanne caressent la vulve et pénètrent le vagin inondé de la rouquine. Celle-ci réagit à ces attouchements et s’agite sur le lit, poussant de longs soupirs. — Mais tu es toute trempée ! C’est doux, c’est bon. Tu aimes ? Dis-nous si tu aimes ?— Oui… J’aime… Continuez…— Dis-le encore, demande-t-elle ...

... tout en poursuivant ses caresses.— Oui… Oui… C’est bon ! Plus vite ! gémit Estelle.— Tu es trop impatiente, ma belle… Ne l’oublie pas, c’est une punition ! Tiens, Hélène, caresse-la, excite-la un peu à ton tour. Comme Jeanne l’a fait, Hélène caresse le sexe d’Estelle, la fait haleter, gémir puis l’abandonne pour ne pas précipiter les choses. Vient le tour de Carole, provoquant les mêmes effets… Estelle fait presque pitié. Elle ferme les yeux pour mieux apprécier les attouchements et se mord légèrement la lèvre inférieure à chacun des courts assauts de ces doigts furetant furtivement dans son intimité. Elle est à leur merci, les supplie de la faire jouir ; elles le savent et s’en délectent. — Souhaites-tu un traitement spécial ? Veux-tu formuler un vœu ? demande Carole à Estelle.— Oui… Touchez-moi encore, caressez-moi plus fort… Tout de suite ! S’il vous plaît…— Te souviens-tu, tu m’as dit : tu ne perds rien pour attendre ! Eh bien… Hélène, Carole et moi, nous attendons. Jeanne, menant la danse, est devenue une sorte de bourreau, Carole et Hélène, ses « assistantes ». Ce sentiment de pouvoir l’exalte et lui permet d’exprimer un aspect de sa personnalité enfoui au fond d’elle-même depuis probablement fort longtemps. Elle a envie de soumettre Estelle, de lui faire payer toutes ces frustrations et surtout d’avoir joué d’elle. Elle est décidée à ne rien céder avant de l’entendre supplier encore et d’arriver à un niveau de docilité suffisant. Toutes ces pensées se bousculent dans sa ...