Petite fille sage (1)
Datte: 26/06/2017,
Catégories:
Erotique,
Mon nom est Blake et ce que je m’apprête à raconter m’a coûté ma carrière. Tout semblait me réussir, j’étais la fille modèle. J’ai toujours réussi mes études, je n’ai jamais eu aucun souci ni de discipline, ni d’apprentissage. Mes parents avocats, étaient fiers de moi. Première de ma classe, j’avais un petit boulot les vacances et week-end pour payer mes futures études sans l’aide de mes parents. Diplômée major de ma promotion de médecine, j’avais décidé de devenir médecin généraliste. Tant de pénurie dans ce domaine, je savais que n’importe où, j’aurai rapidement une clientèle et que je fonderai ma famille dans une charmante ville. J’étais d’ailleurs avec Marc mon petit ami depuis mes seize ans. Lui avait fait des études d’architecte, mais son rêve était de devenir illustrateur, il adorait dessiner du matin jusqu’au soir. Lorsque j’ai eu mon diplôme en poche, mes parents m’ont demandé dans quelle ville je voulais exercer, nous étions de Paris et je voulais me retrouver dans une petite ville où l’on prendrait enfin le temps de vivre. C’est donc tout naturellement que je choisis le village où Marc passait ses vacances. C’était un charmant village des landes. Quelques mois plus tard j’étais bien installée dans le cabinet offert par mes parents et grands-parents. Je m’adaptais plutôt bien au cadre de vie, mais moins aux personnes. Je passais d’une vie plutôt bourgeoise à une vie « simple » je ne savais pas comment réagir face à des gens qui ne se souciait guère de plaire aux ...
... autres. J’avais désormais une clientèle établie et Marc avait trouvé un job dans un cabinet d’architecte, notre vie ne pouvait être plus parfaite. Le soir lorsque l’un et l’autre avions eu une longue journée Marc insistait pour que nous ayons des rapports. Il savait que ma réponse serait toujours négative, car je souhaitais attendre le mariage. Cela faisait dix ans que nous étions ensemble avec Marc et je considérais qu’il était temps qu’il me fasse sa demande, je n’allais pas céder maintenant après tant d’années d’abstention. Un soir, après une journée particulièrement éprouvante pour moi, je rentrais lessivée. Marc avait préparé le dîner et alors que je me mettais à table il commença à me masser les épaules : — Tu sembles tendue ma chérie. — Oui il y a une épidémie de grippe, les patients se sont accumulés aujourd’hui j’avais deux heures de retard, je n’ai pas pu refuser les patients sans rendez-vous. — Il faut que tu te ménages tu ne tiendras pas sur la longueur. — C’est gentil de croire en moi... — Non tu sais que je n’ai pas voulu dire ça, mais tu dois faire attention à toi, tu en fais déjà énormément bien plus que la plupart des médecins. — Peut-être que tu as raison. Je sentais les mains chaudes et puissantes de Marc allait de mes épaules à ma nuque, de ma nuque à mes épaules puis de mes épaules à mon cou. Ses mains se déplaçaient de plus en plus lentement, jusqu’à ce qu’elles arrivent sur ma poitrine. — Qu’est-ce que tu fais Marc ? jkwjooaq — Chut laisse-toi faire s’il ...