Petite fille sage (1) - Histoires de Sexe

Petite fille sage (1)

... te plaît, juste ça, rien de plus, dix ans c’est long tu sais. Je me rendais bien compte que j’en demandais beaucoup à Marc, mais je ne voulais pas perdre ma virginité n’importe comment. Ses mains étaient désormais sous mon pull et caressaient délicatement le haut de mon soutien-gorge. Je sentais des picotements dans mon bas ventre. Je sentais une légère pression sur ma poitrine, ses doigts entourant mon téton qui durcissait à vue d’œil. J’échappais un gémissement. Ses mains enhardies par ce son malaxèrent mes seins avec envie, pendant que les lèvres de Marc s’appuyaient dans mon cou. Mes yeux étaient désormais fermés, je sentais mon entrejambe fourmiller, s’humidifier. Marc me retourna et m’embrassa à pleine bouche, ses mains se posant désormais sur mes hanches, il m’installa sur la table - qu’il venait de débarrasser d’un revers de main. Mon excitation était à son comble tout comme mon désir, Marc respirait de plus en plus fort, ses mains se trouvant désormais sur mes cuisses. J’avais envie de lui plus que jamais, jamais nous n’avions été plus loin que les bisous. J’étais désormais une femme il fallait que je me laisse faire, dix ans que nous étions ensemble ce n’était pas n’importe qui. Trop d’années je l’avais privé de ce moment-là. Alors je ne l’arrêterais pas, pas cette fois et tant pis pour le mariage, ...

... après tout dix ans de vie commune c’est tout comme. Le temps de ma pensée, Marc m’avait enlevé mon pull et mon soutien-gorge, ses mains exerçaient une pression de plus en plus forte sur mes seins. Sa bouche elle, descendait le long de mon cou pour rejoindre les mains de mon amant. Enhardie par ces caresses, je lui ôtais son t-shirt. L’envie grandissante en nous, nous retirons nous-mêmes le reste de nos vêtements jusqu’à ce qu’il ne me reste que ma culotte. J’avais un peu honte, je portais une culotte en coton qui fessait très grand-mère. Nous nous étions allongés sur le sol, plus précisément sur notre tapis shaggy. Marc m’embrassa d’abord sur les lèvres, puis dans le cou, sur mes seins, il continua de descendre, embrassant mon ventre et bientôt il retira le seul vêtement restant. Je ressentais des sensations inconnues, mais tellement enivrantes je ne voulais pas que ça s’arrête pas maintenant. La langue de Marc commença à s’aventurer sur mon sexe, me procurant des frissons. Il commença lentement, puis de plus en plus envieux, il agrippa mes fesses pour me coller à son visage. Je le sentais me lécher, me goûter et je mouillais de plus en plus, ressentant un feu dans mon bas ventre, ce feu ne semblait pouvoir être éteint. Marc remonta sur moi et je sentis une pression s’exercer sur mes lèvres trempées d’envie...