1. Châteaux en Espagne.


    Datte: 15/06/2020, Catégories: fh, hplusag, fplusag, vacances, piscine, hotel, hsoumis, Oral pénétratio, hgode, hsodo, confession,

    ... anniversaire, mon chéri, dit Béa alors que Georges se tourne vers elle et qu’il découvre ainsi que ce n’est pas une erreur, mais une intention cachée jusqu’au dernier moment. Pourtant, il paraît désemparé et ses yeux passent de ce qui ne peut plus nier sa vérité, une tige maintenant relaxée, au sourire pervers de sa maîtresse. Une maîtresse qui lui prend la main, comme on guide celle d’un enfant pour qu’il découvre un contact, une sensation, une texture. Mais la texture c’est bien celle d’une verge, verge d’abord alanguie reprenant son souffle après une immersion éprouvante, mais verge sensible qui réagit à cette sollicitation. Béa et Georges découvrent la puissance de leurs caresses. La tige se transforme en roseau, puis en bâton, puis en chêne, enfin en baobab dont le tronc n’est fait que pour lancer vers le ciel quelques branches, quelques ramures qui semblent ridicules pour ce corps puissant. Mais sous leurs yeux la ramure est un gland bien rose, dont le méat est en liaison directe avec une sève qui piaffe d’impatience dans des couilles bien symétriques. — Regarde. Fais comme moi, dit Béa à son amant, alors qu’elle se penche sur la bite de la femme… de l’homme… de Lucina. S’en suit une leçon de fellation. Béa montre à son amant comment sucer, comment lécher, comment gober des couilles, comment exciter un homme. La leçon est vite apprise. Georges sait ce qui est bon pour Lucina ! Il fait comme pour lui. C’est très vite un spectacle très prenant de voir cet homme en ...
    ... sucer un autre. Mais tout le monde a compris depuis que la queue de Lucina est apparue, qu’elle a un objectif. Inutile de détailler par quel miracle ou plus exactement pas quel moyen de persuasion, Béa a convaincu son vieil amant de se placer en femelle, à quatre pattes, prête pour le mâle, prête pour la saillie, prête pour être honorée et comblée. Pour être comblé, Georges va l’être. La bite qui fouille ses entrailles est un charbon ardent qui le déchire. Le gode de Béa est bien loin, jouet pour gamins. La queue de Lucina est autrement plus vive, vivante, brûlante. L’homme en supporte avec délectation toutes les contraintes. Des contraintes qui se transforment bien vite en plaisir, en jouissance jusqu’à ce que Lucina éjacule dans le cul, célébrant ainsi un anniversaire dont il se souviendra. Et moi, dans tout cela ? Eh bien moi, je bande, malheureux spectateur qui a pensé un instant qu’on ferait appel à lui. J’étais prêt à tout. Me faire prendre. Enculer l’un. Enculer l’autre. Sucer. Pomper. Bref, prêt à tout pour relâcher enfin cette pression. Mais non. Je me suis fini, à la main, crachant mon foutre, dans une dérisoire vengeance, sur une chaise de tissu. Je les ai laissé terminer sans moi. Mais si je dis que je n’arrive pas à trouver le sommeil n’étonnera personne. Personne et encore moins ma visiteuse qui après avoir gratté à la porte de ma chambre demande : — Vous dormez. Bien sûr que non, je ne dors pas, pourtant je dois rêver. — Non, non, pas du tout. Lucina, mais que ...
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